fjt_1006076 - FRANC - MAÇONNERIE Loge de la Concorde, Orient de Vienne 1781
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Type : Loge de la Concorde, Orient de Vienne
Date : 1781
Métal : métal blanc
Diamètre : 37,50 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 7,96 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec des fines traces d’usure, quelques coups et rayures. Tâches d’oxydation
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : CONCORDE ORIENT DE VIENNE // 5781.
Description avers : Un compas et une équerre accostée de la lune, d’une étoile et du soleil ; au centre : un marteau et une truelle en sautoir et attachés au compas, une bonne foi et le millésime 5781.
Revers
Titulature revers : LISSE.
Commentaire
Diamètre sans bélière de : 29 mm
Le revers lisse était destiné à recevoir une attribution comme l’exemplaire représenté dans le Hamburgische Zirkel-Correspondenz ou dans le labouret. Ce jeton date en pratique de la première moitié XIXe siècle.
La franc-maçonnerie s’implante en France aux alentours du premier quart du XVIIIe s. sous l’influence d’aristocrates anglais. Initiatique, elle est fondée sur le rite hiramique, du nom d’Hiram de Tyr, personnage biblique, architecte du roi Salomon sur le chantier du Temple et qui a résisté à la torture sans livrer ses secrets. Hiram a aussi donné un point de départ du calendrier maçonnique commençant 4000 ans avant le calendrier chrétien. Les symboles servent de signes de reconnaissance entre les initiés, notamment des outils de constructeur de cathédrales (équerre, compas, niveau, maillet, etc.), des formes (triangle, étoile), des nombres (trois, cinq, sept) et des lettres.
Le revers lisse était destiné à recevoir une attribution comme l’exemplaire représenté dans le Hamburgische Zirkel-Correspondenz ou dans le labouret. Ce jeton date en pratique de la première moitié XIXe siècle.
La franc-maçonnerie s’implante en France aux alentours du premier quart du XVIIIe s. sous l’influence d’aristocrates anglais. Initiatique, elle est fondée sur le rite hiramique, du nom d’Hiram de Tyr, personnage biblique, architecte du roi Salomon sur le chantier du Temple et qui a résisté à la torture sans livrer ses secrets. Hiram a aussi donné un point de départ du calendrier maçonnique commençant 4000 ans avant le calendrier chrétien. Les symboles servent de signes de reconnaissance entre les initiés, notamment des outils de constructeur de cathédrales (équerre, compas, niveau, maillet, etc.), des formes (triangle, étoile), des nombres (trois, cinq, sept) et des lettres.