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fjt_744931 - ASSURANCES La sauvegarde des travailleurs - ACCIDENTS n.d.

ASSURANCES La sauvegarde des travailleurs - ACCIDENTS SUP
240.00 €
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Type : La sauvegarde des travailleurs - ACCIDENTS
Date : n.d.
Métal : argent
Diamètre : 30 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 13,95 g.
Tranche : lisse
Poinçon : abeille ARGENT
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
Des marques de manipulation laissent apercevoir un nettoyage ancien principalement au revers
Référence ouvrage :
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection Jean-Paul Saillard

Avers


Description avers : Une allégorie féminine de l’Assurance debout au centre, le pied posé sur une roue dentée, protège dans un décor d’usines, d’engrenages, d’enclume et de marteau un enfant et un homme mur. Signé LECOMTE ROUEN.

Revers


Titulature revers : LA SAUVEGARDE DES TRAVAILLEURS.
Description revers : dans une couronne ouverte de laurier.

Commentaire


Cette compagnie était probablement installée à Rouen car le graveur précise dans sa signature qu’il est de Rouen : on peut donc supposer qu’il ne s’est pas déplacé. C’est l’exemplaire illustré dans le Gailhouste !.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

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