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E-auction 301-221052 - fme_367459 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille de la ville de Mortagne - Jeanne d’Arc

TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille de la ville de Mortagne - Jeanne d’Arc TTB
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PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : 100 €
Prix : 22 €
Offre maximum : 22 €
Fin de la vente : 21 janvier 2019 18:15:00
participants : 5 participants
Type : Médaille de la ville de Mortagne - Jeanne d’Arc
Date : 1920
Nom de l'atelier/ville : 61 - Mortagne-au-Perche
Métal : bronze
Diamètre : 50,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : A. J. CORBIERRE
Poids : 75 g.
Tranche : lisse + BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Médaille intéressante, avec une patine brune et des taches plus sombres au droit comme au revers

Avers


Titulature avers : JEANNE D’ARC - 1412 - 1431- 1456 - 1920.
Description avers : Jeanne d’Arc casquée et en cuirasse à droite.

Revers


Titulature revers : VILLE DE MORTAGNE.
Description revers : Écu couronné de la ville de Mortagne, dans une couronne de lauriers et de chêne.

Commentaire


Même type utilisé pour la ville de Digne cf. fme_367354.
Les armes de la commune de Mortagne-au-Perche se blasonnent ainsi : D'or à trois fougères de sinople.

Très forte épaisseur au niveau du buste de Jeanne d’Arc.
Jeanne d'Arc, née vers 1412 à Domrémy (actuellement dans le département des Vosges en Lorraine), village du duché de Bar dont une partie relevait du royaume de France pour le temporel et de l'évêché de Toul pour le spirituel, et morte sur le bûcher le 30 mai 1431 à Rouen, capitale du duché de Normandie alors possession du royaume d'Angleterre, est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée depuis le XVIe siècle « la Pucelle d'Orléans » et, depuis le XIXe siècle, « mère de la nation française ».
Capturée par les Bourguignons à Compiègne en 1430, elle est vendue aux Anglais par Jean de Luxembourg, comte de Ligny, pour la somme de dix mille livres. Elle est condamnée à être brûlée vive en 1431 après un procès en hérésie conduit par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et ancien recteur de l'université de Paris. Entaché de nombreuses irrégularités, ce procès voit sa révision ordonnée par le pape Calixte III en 1455. Un second procès est instruit qui conclut, en 1456, à l'innocence de Jeanne et la réhabilite entièrement. Grâce à ces deux procès dont les minutes ont été conservées, elle est l'une des personnalités les mieux connues du Moyen Âge.
Béatifiée en 1909 puis canonisée en 1920, Jeanne d'Arc est devenue une des quatre saintes patronnes secondaires de la France. Sa fête nationale est instituée par la loi en 1920 et fixée au 2e dimanche de mai.
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Historique


TROISIÈME RÉPUBLIQUE

(4/09/1870-10/07/1940)

La nouvelle de la capitulation de Sedan provoque la révolution du 4 septembre 1870 à Paris. Proclamée à l'Hôtel de Ville, la République est dotée d'un gouvernement provisoire appelé gouvernement de la Défense nationale. Menacé à gauche par l'insurrection de la Commune et à droite par les monarchistes, le nouveau régime connaît des débuts difficiles. Chef du pouvoir exécutif dans un premier temps (février 1871), Thiers est chargé de réorganiser le pays avant de choisir sa forme de gouvernement. Il devient président de la République en août 1871 et, malgré son action de libération du territoire, doit quitter son poste en mars 1873 face à l'opposition royaliste. Il est alors remplacé par Mac-Mahon favorable au rétablissement de la monarchie mais celle-ci n'est pas restaurée à la suite de la question du drapeau. La loi du septennat est alors mise en place en novembre 1873 puis, en 1875, sont votées les lois fondamentales qui servent de Constitution à la Troisième République. Régime parlementaire, elle se caractérise notamment par la nette prépondérance du pouvoir législatif sur le pouvoir exécutif. Anticléricale, la Troisième République rend l'école gratuite, laïque et obligatoire mais continue la politique coloniale pour ses ambitions économiques, stratégiques et morales. La séparation des Églises et de l'État est votée en 1905. L'idée d'une revanche sur l'Allemagne et un nationalisme important sont au cœur de la crise boulangiste, du scandale de Panama ou de l'affaire Dreyfus des années 1886-1899 tandis que la politique étrangère est très active notamment au Maroc et que la course aux armements se développe. La Première Guerre mondiale coûte cher à la France qui ne se relève qu'à partir de 1920 voire 1928 pour la monnaie avec le franc "Poincaré". La crise de 1929 ne se fait sentir qu'à partir de 1932 mais dure jusqu'en 1939, période durant laquelle l'instabilité ministérielle est très importante. Vacillant en 1934, la Troisième République trouve un nouveau ciment unitaire avec l'antifascisme qui permet l'arrivée au pouvoir du Front populaire en 1936. Mais, paralysée face à l'Allemagne, la France va alors s'enliser dans une "drôle de guerre" puis connaître l'une des plus grandes défaites de son histoire en juin 1940. Réunies en Assemblée nationale à Vichy le 10 juillet 1940, les Chambres, pourtant élues en 1936, votent les pleins pouvoirs à Pétain dans une sorte de suicide collectif par 569 voix pour, 80 voix contre et 18 abstentions.

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