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v33_1850 - Essai - piéfort au double de 10 francs Guiraud 1952 Paris Maz.2768 a

Essai - piéfort au double de 10 francs Guiraud 1952 Paris Maz.2768 a FDC
MONNAIES 33 (2007)
Prix de départ : 250.00 €
Estimation : 600.00 €
Prix réalisé : 405.00 €
Nombres d'offres : 5
Offre maximum : 689.00 €
Type : Essai - piéfort au double de 10 francs Guiraud
Date : 1952
Nom de l'atelier/ville : Paris
Quantité frappée : 104
Métal : bronze-aluminium
Diamètre : 20 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 6,38 g.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
D’infimes hairlines. Parfait avec les reliefs mats sur champs miroir (effet “camée”). Les listels sont coupants sous les doigts
Référence ouvrage :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la collection Bernard Bachelet

Avers


Titulature avers : REPUBLIQUE - /FRANCAISE.
Description avers : Tête de Marianne à gauche, coiffée du bonnet phrygien orné d'une cocarde ; signé G. GUIRAUD derrière la tête.

Revers


Titulature revers : ESSAI // LIBERTE EGALITE FRATERNITE .
Description revers : 10 / FRANCS / 1952 ; coq debout à droite au-dessus d'une branche d'olivier.

Commentaire


Ce piéfort est certainement la plus belle 10 francs Guiraud que nous ayons jamais vue et la parfaite démonstration que l’aspect pâteux des frappes courantes ne tient qu’à une fabrication de qualité médiocre et absolument pas au travail de Guiraud. Il est à se demander, au vu de la qualité technique de ce piéfort, comment ce graveur a pu tolérer ce qui fut fait de son oeuvre pour la circulation courante.
On ne peut que recommander l’acquisition de ce piéfort à ceux qui font les types modernes dans la meilleure qualité possible car cette qualité n’existe certainement pas en frappe courante. Cet essai-piéfort en frappe médaille ne semble pas exister en 1952 sous la forme d’un essai d’épaisseur normale.

Historique


QUATRIÈME RÉPUBLIQUE

(16/01/1947-8/01/1959)

Se caractérisant par un régime parlementaire doublé d'une grande instabilité ministérielle, la Quatrième République a pour particularité de n'avoir jamais été officiellement proclamée. En effet, De Gaulle, lors de son arrivée à Paris le 25 août 1944, refuse de le faire sous prétexte que la République n'avait jamais cessé d'exister. Considérant que l'État français du maréchal Pétain n'était qu'un simple état de fait, il estime que la République a survécu dans la France libre et son acte de naissance doit alors être le 18 juin 1940. Toutefois, son départ, le 20 janvier 1946, et le référendum du 13 octobre 1946 approuvant une nouvelle Constitution, marquent le début officiel de cette république. Elle connaît deux présidents : Vincent Auriol (16/01/1947 - 23/12/1953) et René Coty (23/12/1953 - 8/1/1959). La crise ouverte causée par la révolte de l'armée d'Algérie entraîne, en 1958, sa chute qui est confirmée par l'adoption d'une nouvelle constitution le 28 septembre 1958. Néanmoins, elle ne cesse définitivement d'être que le 8 janvier 1959 lors de l'installation du général de Gaulle comme président de la Ve République.

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