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fme_503107 - DIRECTOIRE Médaille, Mariage du duc d’Angoulême et de Madame

DIRECTOIRE Médaille, Mariage du duc d’Angoulême et de Madame TTB+
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2018)
Prix : 180.00 €
Type : Médaille, Mariage du duc d’Angoulême et de Madame
Date : 1799
Métal : argent
Diamètre : 50 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : JEUFFROY Romain-Vincent (1749-1826)
Poids : 73,2 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine grise hétérogène. Présence de coups et rayures
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : LVDOVICVS. ANTONIVS. DVX. ENGOLISMENSIS. - MARIA. THERESIA. CAROLINA. LVD. XVI FILLA.
Description avers : Bustes accolés de Louis Antoine d’Angoulême et Marie Thérèse-Caroline, fille de Louis XVI, sous une couronne de fleurs. Signé : JEUFFROY F..

Revers


Titulature revers : FRATRVM. LIBEROS. CONNVBIO. IVNGIT. // MITTAVIAE. DIE. X. IVNI / MDCCLXXXXIX.
Description revers : Dans le champ, Louis XVIII, en habits royaux, la tête nue, assis de face sur son trône, prend la main de Madame, debout à sa droite, et lui présente le duc d’Angoulême, debout à sa gauche, en costume de cour, la tête nue, avec plaque et grand cordon. Signé : MICHAUT..

Commentaire


Louis-Antoine d’Artois épousa le 10 juin 1799 au palais de Mittau (Russie) sa cousine germaine Marie-Thérèse de France, fille de Louis XVI. Le couple n'eut pas d'enfants.

Louis-Antoine d’Artois, né le 6 août 1775 à Versailles, France, et mort à Görz, Autriche — actuellement Nova Gorica (Slovénie) — le 3 juin 1844, petit-fils de France et duc d’Angoulême (1775-1824), puis Louis-Antoine de France, dauphin de France (1824-1830) puis « comte de Marnes » (1830-1844), puis en 1836 Louis de France, est un prince de la maison royale de France, fils de Charles-Philippe de France, ce dernier étant comte d'Artois et le futur roi Charles X, et de Marie-Thérèse de Savoie..

Historique


DIRECTOIRE

(26/10/1795-9-10/11/1799)

Lors de la séparation de la Convention, le 25 octobre 1795, un nouveau pouvoir exécutif prévu par la constitution thermidorienne se met en place. Cette constitution prévoit de confier le pouvoir à un directoire de cinq membres dont chacun préside à tour de rôle avec remplacement d'un membre tous les deux ans. Ce directoire nomme les ministres et les fonctionnaires, dirige la politique étrangère et fait exécuter les lois mais il ne les élabore pas et n'a aucun contrôle des deniers publics.
Le pouvoir est partagé avec deux chambres : le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens qui forment le Corps législatif. Ce pouvoir est résolu à se maintenir face au risque d'une restauration monarchique ou d'une réaction jacobine mais il est surtout paralysé par la crise financière et doit renoncer à l'assignat en 1796. Le remplacement des assignats par les mandats territoriaux n'inspire pas plus de confiance et cette nouvelle monnaie fiduciaire est supprimée en 1797.
Face à la misère et aux tentatives de déstabilisation, le Directoire, accusé d'être une "république bourgeoise", revient aux mesures révolutionnaires et policières. Par ailleurs, depuis 1792, la guerre est ininterrompue et l'influence des chefs militaires est croissante. En 1799, les partisans d'un pouvoir fort, dont Sieyès, se retrouvent au Directoire et ils ouvrent la voie du pouvoir à Bonaparte, de retour d'Égypte. Le coup d'État des 18 et 19 brumaire an VIII permet l'instauration d'une dictature militaire sous le nom de Consulat.

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