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Prix : 120.00 €
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Type : Jeton Ar 28, corroyeurs
Date : 1755
Métal : argent
Diamètre : 28,5 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 7,26 g.
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire splendide avec très peu de patine. Deux rayures fines dans le champ au droit, devant le front du roi
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : LOUIS XVI ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE..
Description avers : Buste à gauche de Louis XVI, signé J. P. DROZ. F., type Guéant Prieur 732A.
Revers
Titulature revers : MES CORROYEURS PORTEURS DE LA CHASSE DE ST MERRY ; À L'EXERGUE : 1755.
Description revers : Quatre bourgeois portant la châsse de Saint Merry, à l'exergue : instruments de corroyage.
Commentaire
Ce jeton manque à Feuardent. Il est à placer avec le F.5075 mais en diffère largement par l’avers.
Il ne date pas de 1755 mais date plutôt des années 1780. Les cuirs tannés forment deux grandes catégories : celle des cuirs forts et celle des cuirs à œuvre ou molleterie. Les premiers destinés à la fabrication des objets qui demandent une certaine rigidité, tels, par exemple, que les semelles des chaussures ; les seconds servant, au contraire à la confection des empeignes de souliers, des tiges de bottes et, en général, de tous les ouvrages de cordonnerie, de sellerie, de bourrellerie, etc.. qui réclament une grande souplesse. Les cuirs forts sont employés aussitôt après le tannage, tandis que les cuirs à œuvre doivent être soumis, avant d'être livrés au commerce, à des manipulations plus ou moins compliquées, ayant pour objet de les approprier aux usages spéciaux qu'on veut en faire. C'est l'exécution de ces manipulations qui constitue l'art du corroyeur.
Il ne date pas de 1755 mais date plutôt des années 1780. Les cuirs tannés forment deux grandes catégories : celle des cuirs forts et celle des cuirs à œuvre ou molleterie. Les premiers destinés à la fabrication des objets qui demandent une certaine rigidité, tels, par exemple, que les semelles des chaussures ; les seconds servant, au contraire à la confection des empeignes de souliers, des tiges de bottes et, en général, de tous les ouvrages de cordonnerie, de sellerie, de bourrellerie, etc.. qui réclament une grande souplesse. Les cuirs forts sont employés aussitôt après le tannage, tandis que les cuirs à œuvre doivent être soumis, avant d'être livrés au commerce, à des manipulations plus ou moins compliquées, ayant pour objet de les approprier aux usages spéciaux qu'on veut en faire. C'est l'exécution de ces manipulations qui constitue l'art du corroyeur.