-10% à -30% sur 60 000 monnaies, billets, médailles et jetons
+ Filtres
Nouvelle Recherche
Filtres
En Stock Mot(s) exact(s) Titre uniquement
BoutiqueChargement...
Etat Chargement...
PrixChargement...
contenu

fme_734904 - ASSURANCES Médaille, L’Abeille

ASSURANCES Médaille, L’Abeille SUP
80.00 €
Quantité
Ajouter au panierAjouter au panier
Type : Médaille, L’Abeille
Date : 1956
Nom de l'atelier/ville : Monnaie de Paris
Métal : bronze
Diamètre : 67,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : DELAMARRE Raymond (1890-1986)
Poids : 148,08 g.
Tranche : lisse + corne BRONZE
Poinçon : corne BRONZE
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec quelques taches noires. Très légère usure
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : LE DESTIN FRAPPE - LA SAGESSE VEILLE.
Description avers : Minerve arrêtant une allégorie du Destin, signé : RAYMOND DELAMARRE / 1956.

Revers


Titulature revers : PARIS BRUXELLES MILAN MONTREAL MADRID LONDRES COMPAGNIE D’ASSURANCES L’ABEILLE 1856 - 1956.
Description revers : sur un fond d’abeilles.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

cgb.fr utilise des cookies pour vous garantir une meilleure expérience utilisateur et réaliser des statistiques de visites.
Pour faire disparaître le bandeau, vous devez accepter ou refuser leur utilisation en cliquant sur les boutons correspondants.
En savoir plus

x