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fjt_544689 - FRANC - MAÇONNERIE MÉDAILLE MAÇONNIQUE DE RECONNAISSANCE CONJUGALE n.d.

FRANC - MAÇONNERIE MÉDAILLE MAÇONNIQUE DE RECONNAISSANCE CONJUGALE SUP
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2019)
Prix : 150.00 €
Type : MÉDAILLE MAÇONNIQUE DE RECONNAISSANCE CONJUGALE
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : s.l.
Métal : laiton
Diamètre : 68,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 222 g.
Tranche : Lisse
Référence ouvrage :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la Collection Terisse

Avers


Titulature avers : REC :. CONJ :. MAC :. .
Description avers : Foi entourant une torche rayonnante dans un triangle.

Revers


Commentaire


Henri Terisse nous apporte les éléments suivants au travers de son excellent ouvrage : “Ce que l’on appelle mariage maçonnique est en fait une «reconnaissance conjugale» qui est une cérémonie maçonnique où sont admis maçons et non maçons dans une « tenue blanche ». Le fait que les époux s’y disent « oui » a certainement contribué à cette confusion. A cette occasion, sont utilisés divers objets spécifiques et relatifs au mariage, le plus spectaculaire étant l’écharpe maçonnique dont un exemplaire est représenté ci-dessus.
Cette écharpe, posée par le vénérable au moment de l’engagement du serment lors de la cérémonie, enlace les épaules du couple. Cela explique sa longueur. Elle est blanche, en moire doublée de coton. Sa longueur totale dépliée et décousue est de l’ordre de 3,70 mètres avec une largeur de 11 cm. Elle porte, à l’extrémité taillée en biseau une plaquette en laiton doré. Cette plaquette en forme de triangle isocèle à une base de 68,5 mm, des côtés de 53 mm et elle pèse 32,7 g; Sur son fond rayonnant est posé le flambeau de l’Hymen. Une bélière en coiffe le haut et permet l’accrochage à l’écharpe par un mousqueton qui est cousu à l’extrémité du biseau. La remise de cette écharpe dans ces cérémonies était d’usage vers la fin du 19ème siècle”.

Historique


FRANC - MAÇONNERIE

Le compas et l’équerre sont très souvent associés dans un symbole ambivalent d’équilibre : la fixité et la mobilité, le passif et l’actif, la matière et l’esprit. Le compas est l’outil du Créateur et du grand Architecte de l’Univers. L’écartement des branches du compas obéit à des règles précises et varie selon les trois degrés : apprenti, compagnon, maître.
L'époque napoléonienne, dans l'activité des loges comme dans celle de nombreux groupements, vit une floraison après les années terribles de la période révolutionnaire. L'activité maçonnique, débarrassée de ses théories républicaines et fermement contrôlée par un Grand-Maître nommé par l'empereur, connut une vigueur dans l'unité jamais retrouvée depuis. On considère que chaque régiment, chaque garnison, chaque ville avait sa Loge. Les témoignages que nous en laissent les sompteux jetons de la période montrent que ces loges étaient riches et influentes. Le symbolisme est recherché, sans comparaison avec les époques postérieures, beaucoup plus conventionnelles, voire fades ou indigentes au début du XXe siècle. La Franc-Maçonnerie compta plus de mille loges réparties sur les cent trente départements et plus de soixante mille Frères.

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