E-auction 196-126356 - fjt_235265 - FRANC - MAÇONNERIE Cinq centimes Napoléon III, tête nue, satirique avec l’œil dans le triangle 1856
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PAS DE FRAIS ACHETEUR.
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Estimation : | 85 € |
Prix : | 43 € |
Offre maximum : | 99 € |
Fin de la vente : | 16 janvier 2017 17:41:00 |
participants : | 5 participants |
Type : Cinq centimes Napoléon III, tête nue, satirique avec l’œil dans le triangle
Date : 1856
Nom de l'atelier/ville : Rouen
Métal : bronze
Diamètre : 30,5 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 9,70 g.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
Le type est oblitéré, la contremarque est bien visible
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : NAPOLEON III - EMPEREUR/ 1856.
Description avers : Buste de Napoléon III à gauche, le type recouvert d’un œil dans un triangle rayonnant.
Revers
Titulature revers : EMPIRE FRANÇAIS/ * CINQ CENTIMES *.
Description revers : Aigle debout sur un foudre, les ailes ouvertes, la tête tournée à droite ; au-dessous B, le type recouvert d’un œil dans un triangle rayonnant.
Commentaire
La contremarque n’est pas artisanale mais correspond certainement à un poinçon probablement double, une pince biface entre lesquelles on insérait la monnaie à satiriser. Ce détail n’est pas sans importance car contrairement à l’usage qui fait des satiriques des monnaies uniques, on pourrait dans ce cas retrouver plusieurs exemplaires issus des mêmes coins.
Il n’est d’ailleurs pas exclu, loin de là, que ces monnaies aient servi de jetons de présence à une loge particulièrement prolétaire et particulièrement désargentée.
En effet, autant une satirique politique a vocation à circuler, autant une monnaie marquée à l’insigne d’une société secrète (même si elle ne l’a jamais été sérieusement), n’a aucune vocation à circuler.
La franc-maçonnerie s’implante en France aux alentours du premier quart du XVIIIe s. sous l’influence d’aristocrates anglais. Initiatique, elle est fondée sur le rite hiramique, du nom d’Hiram de Tyr, personnage biblique, architecte du roi Salomon sur le chantier du Temple et qui a résisté à la torture sans livrer ses secrets. Hiram a aussi donné un point de départ du calendrier maçonnique commençant 4000 ans avant le calendrier chrétien. Les symboles servent de signes de reconnaissance entre les initiés, notamment des outils de constructeur de cathédrales (équerre, compas, niveau, maillet, etc.), des formes (triangle, étoile), des nombres (trois, cinq, sept) et des lettres.
Il n’est d’ailleurs pas exclu, loin de là, que ces monnaies aient servi de jetons de présence à une loge particulièrement prolétaire et particulièrement désargentée.
En effet, autant une satirique politique a vocation à circuler, autant une monnaie marquée à l’insigne d’une société secrète (même si elle ne l’a jamais été sérieusement), n’a aucune vocation à circuler.
La franc-maçonnerie s’implante en France aux alentours du premier quart du XVIIIe s. sous l’influence d’aristocrates anglais. Initiatique, elle est fondée sur le rite hiramique, du nom d’Hiram de Tyr, personnage biblique, architecte du roi Salomon sur le chantier du Temple et qui a résisté à la torture sans livrer ses secrets. Hiram a aussi donné un point de départ du calendrier maçonnique commençant 4000 ans avant le calendrier chrétien. Les symboles servent de signes de reconnaissance entre les initiés, notamment des outils de constructeur de cathédrales (équerre, compas, niveau, maillet, etc.), des formes (triangle, étoile), des nombres (trois, cinq, sept) et des lettres.