E-auction 333-248703 - fme_412368 - CHARLES X Médaille du discours du 17 septembre
Vous devez être connecté et approuvé par cgb.fr pour participer à une "e-auction/live-auction" de cgb.fr, Identifiez vous pour miser. Les validations de compte sont effectuées dans les 48 heures qui suivent votre enregistrement, n'attendez pas les deux derniers jours avant la clôture d'une vente pour procéder à votre enregistrement.En cliquant sur "MISER", vous acceptez sans réserve les conditions générales des ventes privées des e-auctions de cgb.fr et les conditions générales des ventes privées des live auctions de cgb.fr.
La vente sera clôturée à l'heure indiquée sur la fiche descriptive, toute offre reçue après l'heure de clôture ne sera pas validée. Veuillez noter que les délais de transmission de votre offre à nos serveurs peuvent varier et qu'il peut en résulter un rejet de votre offre si elle est expédiée dans les toutes dernières secondes de la vente.
Les offres doivent être effectuées avec des nombres entiers, vous ne pouvez saisir de , ou de . dans votre offre. Pour toute question cliquez ici pour consulter la FAQ des e-auctions.
PAS DE FRAIS ACHETEUR.
PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : | 100 € |
Prix : | 46 € |
Offre maximum : | 61 € |
Fin de la vente : | 02 septembre 2019 18:10:30 |
participants : | 8 participants |
Type : Médaille du discours du 17 septembre
Date : 1824
Nom de l'atelier/ville : 51 - Reims
Métal : bronze
Diamètre : 51 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : GAYRARD Raymond (1777-1858)
Poids : 64 g.
Tranche : lisse
Commentaires sur l'état de conservation :
Superbe médaille avec de très beaux reliefs et une agréable patine brune et brillante
Avers
Titulature avers : CAROLVS X FRANC - ET NAV REX.
Description avers : Buste à gauche de Charles X.
Revers
Titulature revers : J’AI PROMIS / COMME SUJET / DE MAINTENIR LA CHARTE / ET LES INSTITUTIONS / QUE NOUS DEVONS AU SOUVERAIN / DONT LE CIEL VIENT DE NOUS PRIVER / AUJOURD’HUI QUE LE DROIT DE MA NAISSANCE /A FAIT TOMBER LE POUVOIR ENTRE MES MAINS / JE L’EMPLOIERAI TOUT ENTIER À CONSOLIDER / POUR LE BONHEUR DE MON PEUPLE / LE GRAND ACTE / QUE J’AI PROMIS DE MAINTENIR. / MA CONFIANCE DANS MES SUJETS / EST ENTIÈRE... // PAROLES DU 17 SEPT 1824.
Description revers : Légende en 15 lignes horizontales.
Commentaire
Médaille signée GAYRARD F. au droit et DEPUYMAURIN DIREX au revers.
Charles X (château de Versailles, 9 octobre 1757 – Görz, empire d'Autriche, 6 novembre 1836), surtout connu sous le titre de comte d'Artois (1757-1824), est roi de France et de Navarre de 1824 à 1830.
À la mort de son frère Louis XVIII, en 1824, il monte sur le trône et décide de renouer avec la tradition du sacre, dont son prédécesseur s'était dispensé pour des raisons autant politiques que physiques, ne souhaitant ni provoquer de critiques ni affronter les fatigues de Reims. Le sacre se tient le 29 mai 1825 en la cathédrale de Reims et marque un retour à la logique d'Ancien Régime tout en affectant d'ignorer les changements de la société française depuis la Révolution française et l'Empire napoléonien. Ce sacre reprend les phases principales du cérémonial de l'Ancien Régime comme les sept onctions ou les serments sur les Évangiles. Malgré tout, on peut observer certains changements comme le fait que le roi prête un serment de fidélité à la Charte de 1814 ou encore le fait que les grands princes participent au cérémonial en aidant l'archevêque de Reims. .
Charles X (château de Versailles, 9 octobre 1757 – Görz, empire d'Autriche, 6 novembre 1836), surtout connu sous le titre de comte d'Artois (1757-1824), est roi de France et de Navarre de 1824 à 1830.
À la mort de son frère Louis XVIII, en 1824, il monte sur le trône et décide de renouer avec la tradition du sacre, dont son prédécesseur s'était dispensé pour des raisons autant politiques que physiques, ne souhaitant ni provoquer de critiques ni affronter les fatigues de Reims. Le sacre se tient le 29 mai 1825 en la cathédrale de Reims et marque un retour à la logique d'Ancien Régime tout en affectant d'ignorer les changements de la société française depuis la Révolution française et l'Empire napoléonien. Ce sacre reprend les phases principales du cérémonial de l'Ancien Régime comme les sept onctions ou les serments sur les Évangiles. Malgré tout, on peut observer certains changements comme le fait que le roi prête un serment de fidélité à la Charte de 1814 ou encore le fait que les grands princes participent au cérémonial en aidant l'archevêque de Reims. .