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fjt_010671 - ASSURANCES La Compagnie royale d’assurances 1830

ASSURANCES La Compagnie royale d’assurances SPL
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2012)
Prix : 38.00 €
Type : La Compagnie royale d’assurances
Date : 1830
Métal : argent
Diamètre : 36 mm
Poinçon : Lampe (1832 - 1841)
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : LA PREVOYANCE DOTE L'AVENIR ; À L'EXERGUE : XXIII MAI MDCCCXXX.
Description avers : La Prévoyance debout devant un autel tendant à un père et son enfant une police d'assurances. Signé DESNOYERS.

Revers


Titulature revers : COMPAGNIE ROYALE D'ASSURANCES SUR LA VIE HUMAINE.
Description revers : Inscription en cinq lignes.

Commentaire


Fondée sous Louis XVIII, cette compagnie comprenait deux branches : la branche maritime, ayant commencé ses activités en août et en septembre 1816, la branche incendie, traitée par notre jeton, débutant le 11 février 1820 A la suite de la révolution de 1848 qui fonda la IIème République, la Royale devint la Nationale.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

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