v40_0748 - 2 francs Cérès, IIe République 1851 Paris F.261/7
MONNAIES 40 (2009)
Prix de départ : 1 500.00 €
Estimation : 2 500.00 €
Prix réalisé : 1 626.00 €
Nombres d'offres : 3
Offre maximum : 2 505.00 €
Prix de départ : 1 500.00 €
Estimation : 2 500.00 €
Prix réalisé : 1 626.00 €
Nombres d'offres : 3
Offre maximum : 2 505.00 €
Type : 2 francs Cérès, IIe République
Date : 1851
Nom de l'atelier/ville : Paris
Quantité frappée : 350549
Métal : argent
Titre en millième : 900 ‰
Diamètre : 27,07 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 9,97 g.
Tranche : cannelée
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire de qualité exceptionnelle avec une magnifique patine de médaillier à reflets dorés. Aucune usure n'est perceptible, même à la loupe x10. Toutefois, un très léger plat se fait déjà sentir sur la joue avec une petite différence de patine. Au revers, la pièce conserve l'intégralité de son brillant d'origine. D'infimes petites traces de manipulation sont décelables autour de la valeur faciale. Effet camée sur les deux côtés
Référence ouvrage :
Pedigree :
Cet exemplaire provient du stock Elsen, novembre 1984, et de MONNAIES IX n° 1806
Avers
Titulature avers : REPUBLIQUE * FRANÇAISE..
Description avers : Tête de la République à gauche en Cérès, déesse des moissons, portant un collier de perles, un double chignon et une couronne composite de blé, fleurs, olivier et olives, chêne et glands, nouée par un ruban descendant sur le cou et passant sur le front où est inscrit le mot CONCOR ; sous la tranche du cou le long du listel E. A. OUDINÉ. F..
Revers
Titulature revers : (DIFFÉRENT) (BRANCHE DE CHÊNE) LIBERTE . EGALITE . FRATERNITE. (DIFFÉRENT).
Description revers : 2 / FRANCS, en deux lignes dans le champ, au-dessus de 1851, dans une couronne composite de deux branches de chêne et de deux de laurier, nouées deux par deux en bas par un ruban ; sous le nœud, la lettre d'atelier A.
Commentaire
Cet exemplaire aurait dû être le nouvel exemplaire de la Collection Idéale dans MONNAIES IX mais malheureusement la qualité de la photo ne rendait pas alors hommage à sa qualité exceptionnelle. C’est donc en toute logique qu’il retrouve à présent sa place.