fme_681724 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Prix de vertu du baron de Montyon
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Type : Médaille, Prix de vertu du baron de Montyon
Date : 1929
Métal : bronze
Diamètre : 51,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : GAYRARD Raymond (1777-1858)
Poids : 61,69 g.
Tranche : lisse + Corne BRONZE
Poinçon : corne BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec les traces de nettoyage. Traces de manipulation. Présence de coups et rayures, notamment sur la tranche
Avers
Titulature avers : ANTOINE JEAN BAPTISTE - ROBERT AUGET DE MONTYON.
Description avers : Buste à gauche du baron de Montyon, signé : GAYRARD F..
Revers
Titulature revers : ACADÉMIE / FRANÇAISE / - / PRIX DE VERTU / - / LE MARTINET / SUZANNE / - / 1929.
Description revers : Légende en 6 lignes dans une couronne de lauriers.
Commentaire
Exemplaire décerné à Suzanne Le Martinet en 1929.
Antoine-Jean-Baptiste-Robert Auget, baron de Montyon, est un philanthrope et économiste français, né le 23 décembre 1733 à Paris et mort le 29 décembre 1820 dans la même ville.
Le prix de vertu est encore décerné aujourd'hui mais les sommes attribuées sont devenues extrêmement minimes, cependant, une des clauses du testament du fondateur exige que tous les ans, il soit fait « lecture d'un discours qui contiendra l'éloge d'un acte de vertu ». Ainsi depuis 1819, un membre de l'Académie française se livre annuellement au délicat exercice consistant à faire l'éloge des lauréats vertueux et des vertus en général, prétexte pour réfléchir aux mœurs de son temps. C'est donc un tableau particulièrement original de l'histoire des mœurs que l'on peut découvrir à travers les discours prononcés par François Guizot, Alexis de Tocqueville, Thierry Maulnier, Jean Guitton, François Mauriac ou Erik Orsenna. Sans oublier Paul Valéry..
Antoine-Jean-Baptiste-Robert Auget, baron de Montyon, est un philanthrope et économiste français, né le 23 décembre 1733 à Paris et mort le 29 décembre 1820 dans la même ville.
Le prix de vertu est encore décerné aujourd'hui mais les sommes attribuées sont devenues extrêmement minimes, cependant, une des clauses du testament du fondateur exige que tous les ans, il soit fait « lecture d'un discours qui contiendra l'éloge d'un acte de vertu ». Ainsi depuis 1819, un membre de l'Académie française se livre annuellement au délicat exercice consistant à faire l'éloge des lauréats vertueux et des vertus en général, prétexte pour réfléchir aux mœurs de son temps. C'est donc un tableau particulièrement original de l'histoire des mœurs que l'on peut découvrir à travers les discours prononcés par François Guizot, Alexis de Tocqueville, Thierry Maulnier, Jean Guitton, François Mauriac ou Erik Orsenna. Sans oublier Paul Valéry..