fme_481106 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille “Jusqu’au bout” du général Gallieni
20.00 €
Quantité
Ajouter au panier

Type : Médaille “Jusqu’au bout” du général Gallieni
Date : 1916
Nom de l'atelier/ville : 75 - Paris
Métal : cupro-nickel
Diamètre : 31 mm
Graveur : MAILLARD Auguste / PARIS ART
Poids : 7,58 g.
Tranche : lisse
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène
Avers
Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Buste à gauche du général Gallieni; signé : AUGte MAILLARD / 1916 et PA sur une feuille à droite.
Revers
Titulature revers : PARIS / 1914-1916 / - / “JUSQU’AU BOUT” / GALLIENI.
Description revers : Légende en 3 lignes puis signature.
Commentaire
Joseph Simon Gallieni, né le 24 avril 1849 à Saint-Béat dans la Haute-Garonne et mort le 27 mai 1916 à Versailles, est un militaire et administrateur colonial français. Il exerça une grande partie de son activité dans les opérations de colonisation menées par la France, laissant une empreinte profonde sur l’histoire de la colonisation française, et termina sa carrière pendant la Première Guerre mondiale. Il fut fait maréchal à titre posthume en 1921.
Lorsque le 26 août 1914, le général Gallieni est nommé gouverneur militaire de Paris pour assurer la défense de la capitale, il rassure les Parisiens par ces mots : « J’ai reçu le mandat de défendre Paris contre l’envahisseur ; ce mandat je le remplirai jusqu’au bout. »
Lors de ses funérailles nationales, Georges Clemenceau écrira : « Le général Gallieni est l’homme dont la prompte décision nous a donné la bataille de la Marne. Il est le véritable sauveur de Paris. Les funérailles nationales ne sont qu’un commencement de justice. Avec ses conséquences, le reste suivra. L’heure viendra des jugements et la mémoire de Gallieni peut attendre avec tranquillité l’avenir. »
.
Lorsque le 26 août 1914, le général Gallieni est nommé gouverneur militaire de Paris pour assurer la défense de la capitale, il rassure les Parisiens par ces mots : « J’ai reçu le mandat de défendre Paris contre l’envahisseur ; ce mandat je le remplirai jusqu’au bout. »
Lors de ses funérailles nationales, Georges Clemenceau écrira : « Le général Gallieni est l’homme dont la prompte décision nous a donné la bataille de la Marne. Il est le véritable sauveur de Paris. Les funérailles nationales ne sont qu’un commencement de justice. Avec ses conséquences, le reste suivra. L’heure viendra des jugements et la mémoire de Gallieni peut attendre avec tranquillité l’avenir. »
.