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E-auction 239-163050 - fme_412427 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille du Paquebot Flandre

TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille du Paquebot Flandre TTB+
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PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : 40 €
Prix : 21 €
Offre maximum : 40 €
Fin de la vente : 13 novembre 2017 19:05:30
participants : 5 participants
Type : Médaille du Paquebot Flandre
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : Belgique
Métal : bronze
Diamètre : 49,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : RENARD Marcel (1893-1974)
Poids : 54 g.
Tranche : lisse + triangle BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Belle médaille avec une agréable patine brune

Avers


Titulature avers : FLANDRE.
Description avers : Brodeuse travaillant, assise à gauche, sur l’écu de la Flandre ; dans le champ ; à l’exergue, une navette, un épis de maïs et un poisson.

Revers


Titulature revers : FRENCH LINE // COMPAGNIE / GÉNÉRALE / TRANSATLANTIQUE.
Description revers : Paquebot entre 4 lignes de légende.

Commentaire


Le Flandre est un paquebot belge entré en service en 1888 sur la ligne Ostende—Douvres et coulé à la fin de la Première Guerre mondiale.
Pendant la Première Guerre mondiale le Princesse Joséphine et le Flandre, mis hors service, étaient restés à quai à Ostende et furent arraisonnés par la Marine impériale allemande. Ils furent retrouvés coulés après la guerre. Dans leur retraite en 1918, les Allemands avaient fait couler le Flandre dans le chenal le long de la digue orientale du port d'Ostende. Pendant les travaux de dégagement du Flandre en 1920, les paquebots durent employer le port de Zeebruges au lieu de celui d'Ostende pendant 15 jours.

Médaille signée Marcel RENARD, né à Lyon le 5 août 1893, mort à Paris le 15 mars 1974. Il était un sculpteur et graveur-médailleur français. D'abord élève de son père, Marcel Renard entre à l’École des beaux-arts de Lyon dans les ateliers d’Aubert et de Ploquin, puis il est admis à l’École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Rost et de Boucher. Il obtient le second grand prix de Rome de gravure en médailles, et une médaille d’or à l’Exposition des arts décoratifs de 1925.
Condisciple de Gimond, de Salendre, de Bertola et de Penin, il expose au Salon des artistes français ainsi qu’au Salon des artistes décorateurs.
Marcel Renard se fixe à Paris en 1920 et travaille avec Roux-Spitz sur ses chantiers lyonnais, qu’il s’agisse de la Villa Weitz (1923), du restaurant Berrier et Millet (1924-1928, avec Janniot, détruit) ou encore de la sépulture Vetter au cimetière de la Croix-Rousse à Lyon (1924).
Ses œuvres sont conservées, entre autres, au musée des beaux-arts de Lyon, Victoria & Albert Museum, Londres, Grande Bretagne [archive], Musée du Design de Gand, Belgique et Musée Rolf de Marès, Stockholm, Suède.
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Historique


TROISIÈME RÉPUBLIQUE

(4/09/1870-10/07/1940)

La nouvelle de la capitulation de Sedan provoque la révolution du 4 septembre 1870 à Paris. Proclamée à l'Hôtel de Ville, la République est dotée d'un gouvernement provisoire appelé gouvernement de la Défense nationale. Menacé à gauche par l'insurrection de la Commune et à droite par les monarchistes, le nouveau régime connaît des débuts difficiles. Chef du pouvoir exécutif dans un premier temps (février 1871), Thiers est chargé de réorganiser le pays avant de choisir sa forme de gouvernement. Il devient président de la République en août 1871 et, malgré son action de libération du territoire, doit quitter son poste en mars 1873 face à l'opposition royaliste. Il est alors remplacé par Mac-Mahon favorable au rétablissement de la monarchie mais celle-ci n'est pas restaurée à la suite de la question du drapeau. La loi du septennat est alors mise en place en novembre 1873 puis, en 1875, sont votées les lois fondamentales qui servent de Constitution à la Troisième République. Régime parlementaire, elle se caractérise notamment par la nette prépondérance du pouvoir législatif sur le pouvoir exécutif. Anticléricale, la Troisième République rend l'école gratuite, laïque et obligatoire mais continue la politique coloniale pour ses ambitions économiques, stratégiques et morales. La séparation des Églises et de l'État est votée en 1905. L'idée d'une revanche sur l'Allemagne et un nationalisme important sont au cœur de la crise boulangiste, du scandale de Panama ou de l'affaire Dreyfus des années 1886-1899 tandis que la politique étrangère est très active notamment au Maroc et que la course aux armements se développe. La Première Guerre mondiale coûte cher à la France qui ne se relève qu'à partir de 1920 voire 1928 pour la monnaie avec le franc "Poincaré". La crise de 1929 ne se fait sentir qu'à partir de 1932 mais dure jusqu'en 1939, période durant laquelle l'instabilité ministérielle est très importante. Vacillant en 1934, la Troisième République trouve un nouveau ciment unitaire avec l'antifascisme qui permet l'arrivée au pouvoir du Front populaire en 1936. Mais, paralysée face à l'Allemagne, la France va alors s'enliser dans une "drôle de guerre" puis connaître l'une des plus grandes défaites de son histoire en juin 1940. Réunies en Assemblée nationale à Vichy le 10 juillet 1940, les Chambres, pourtant élues en 1936, votent les pleins pouvoirs à Pétain dans une sorte de suicide collectif par 569 voix pour, 80 voix contre et 18 abstentions.

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