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fme_366323 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille de prix agricole du conseil général du Nord

TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille de prix agricole du conseil général du Nord SUP
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2017)
Prix : 75.00 €
Type : Médaille de prix agricole du conseil général du Nord
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : 59 - Lille
Métal : bronze
Diamètre : 50 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : MICHELET Firmin (1875-1951)
Poids : 56 g.
Tranche : lisse + BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Médaille dans son état d’origine, avec une agréable et épaisse patine brune

Avers


Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Allégorie coiffée d’un casque corinthien avec une branche d’olivier, à gauche.

Revers


Titulature revers : PRIX DU CONSEIL GÉNÉRAL DU NORD.
Description revers : Cadre rond entouré de divers symboles associés à l’agriculture et à l’élevage.

Commentaire


Médaille non attribuée, probablement associée à un concours agricole ou à un mérite particulier.
Thèmes ; vache, boeuf, taureau, cheval, cochon, coq, poule, poulet, tracteur, charrue, blé, pomme, raisin...

Marcelin Firmin Michelet, né le 20 septembre 1875 à Tarbes, commune où il est mort le 14 octobre 1951, est un sculpteur et artiste graveur français. Il s'illustra surtout dans le domaine de la statuaire monumentale, mais aussi dans la médaille et les monnaies (avec la série de monnaies de nécessité de Tarbes).
Il se forma auprès des sculpteurs toulousains Falguière, Mercié et Marqueste. Membre de la Société des artistes français, il exposa aux Salons des artistes français, d'Automne et des Tuileries à partir de 1898. Il réalisa tout au long de sa carrière officielle récompensée par de nombreux prix, de très nombreux monuments publics et commémoratifs, excellant dans le domaine de la statuaire monumentale.
Il exécuta pour Tarbes le Monument au Souvenir des enfants des Hautes-Pyrénées morts pour la France et la statue équestre du Maréchal Foch. Il a également réalisé un nombre important de monuments aux morts dans le département des Hautes-Pyrénées. On lui doit également celui du Collège Stanislas.
Cet artiste méconnu fut également l'auteur, à côté de Paul Belmondo et quelques autres, d'un bas-relief du Palais du Trocadéro. De même, on peut voir de lui de nombreuses sculptures réalisées après la Première Guerre mondiale à la chapelle commémorative du Mémorial des batailles de la Marne. Il immortalisa les traits du Maréchal Foch, tarbais comme lui, par un buste, deux statues de pied et une statue équestre.
Le Musée d'Orsay conserve aussi quelques-unes de ses œuvres..

Historique


TROISIÈME RÉPUBLIQUE

(4/09/1870-10/07/1940)

La nouvelle de la capitulation de Sedan provoque la révolution du 4 septembre 1870 à Paris. Proclamée à l'Hôtel de Ville, la République est dotée d'un gouvernement provisoire appelé gouvernement de la Défense nationale. Menacé à gauche par l'insurrection de la Commune et à droite par les monarchistes, le nouveau régime connaît des débuts difficiles. Chef du pouvoir exécutif dans un premier temps (février 1871), Thiers est chargé de réorganiser le pays avant de choisir sa forme de gouvernement. Il devient président de la République en août 1871 et, malgré son action de libération du territoire, doit quitter son poste en mars 1873 face à l'opposition royaliste. Il est alors remplacé par Mac-Mahon favorable au rétablissement de la monarchie mais celle-ci n'est pas restaurée à la suite de la question du drapeau. La loi du septennat est alors mise en place en novembre 1873 puis, en 1875, sont votées les lois fondamentales qui servent de Constitution à la Troisième République. Régime parlementaire, elle se caractérise notamment par la nette prépondérance du pouvoir législatif sur le pouvoir exécutif. Anticléricale, la Troisième République rend l'école gratuite, laïque et obligatoire mais continue la politique coloniale pour ses ambitions économiques, stratégiques et morales. La séparation des Églises et de l'État est votée en 1905. L'idée d'une revanche sur l'Allemagne et un nationalisme important sont au cœur de la crise boulangiste, du scandale de Panama ou de l'affaire Dreyfus des années 1886-1899 tandis que la politique étrangère est très active notamment au Maroc et que la course aux armements se développe. La Première Guerre mondiale coûte cher à la France qui ne se relève qu'à partir de 1920 voire 1928 pour la monnaie avec le franc "Poincaré". La crise de 1929 ne se fait sentir qu'à partir de 1932 mais dure jusqu'en 1939, période durant laquelle l'instabilité ministérielle est très importante. Vacillant en 1934, la Troisième République trouve un nouveau ciment unitaire avec l'antifascisme qui permet l'arrivée au pouvoir du Front populaire en 1936. Mais, paralysée face à l'Allemagne, la France va alors s'enliser dans une "drôle de guerre" puis connaître l'une des plus grandes défaites de son histoire en juin 1940. Réunies en Assemblée nationale à Vichy le 10 juillet 1940, les Chambres, pourtant élues en 1936, votent les pleins pouvoirs à Pétain dans une sorte de suicide collectif par 569 voix pour, 80 voix contre et 18 abstentions.

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