+ Filtres
Nouvelle Recherche
Filtres
En Stock Mot(s) exact(s) Titre uniquement
BoutiqueChargement...
Etat Chargement...
PrixChargement...
contenu

E-auction 283-204408 - fme_438723 - SECOND EMPIRE Médaillette pour l’archevêque Sibour

SECOND EMPIRE Médaillette pour  l’archevêque Sibour TTB+
Vous devez être connecté et approuvé par cgb.fr pour participer à une "e-auction/live-auction" de cgb.fr, Identifiez vous pour miser. Les validations de compte sont effectuées dans les 48 heures qui suivent votre enregistrement, n'attendez pas les deux derniers jours avant la clôture d'une vente pour procéder à votre enregistrement.En cliquant sur "MISER", vous acceptez sans réserve les conditions générales des ventes privées des e-auctions de cgb.fr et les conditions générales des ventes privées des live auctions de cgb.fr. La vente sera clôturée à l'heure indiquée sur la fiche descriptive, toute offre reçue après l'heure de clôture ne sera pas validée. Veuillez noter que les délais de transmission de votre offre à nos serveurs peuvent varier et qu'il peut en résulter un rejet de votre offre si elle est expédiée dans les toutes dernières secondes de la vente. Les offres doivent être effectuées avec des nombres entiers, vous ne pouvez saisir de , ou de . dans votre offre. Pour toute question cliquez ici pour consulter la FAQ des e-auctions.

PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : 90 €
Prix : 6 €
Offre maximum : 12 €
Fin de la vente : 17 septembre 2018 18:52:30
participants : 3 participants
Type : Médaillette pour l’archevêque Sibour
Date : 1857
Nom de l'atelier/ville : 75 - Paris
Métal : laiton doré
Diamètre : 23 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 4,29 g.
Tranche : lisse
Commentaires sur l'état de conservation :
Jolie petite médaillette avec sa bélière d’origine

Avers


Titulature avers : M. DOM AUGUSTE SIBOUR ARCHQUE DE PARIS.
Description avers : Buste à droit de l’archevêque tenant une crosse et un coeur saignant.

Revers


Titulature revers : MARTYRISÉ / LE 3 JANVIER 1857 / DANS L’ÉGLISE / DE ST. ETIENNE DU MONT / JOUR DE LA FÊTE PATRALE / DE STE. GENEVIEVE / PAR LE POIGNARD / D’UN FORCENÉ // MALEDIMUR ET BENEDICIMUS (S. PAUL AUX CORINTH. 4. 13).
Description revers : Légende en 9 lignes horizontales.

Commentaire


Marie Dominique Auguste Sibour, né à Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), le 4 août 1792, mort assassiné à Paris, le 3 janvier 1857, est un ecclésiastique français, évêque du diocèse de Digne (1840-1848) puis archevêque de Paris (1848-1857).
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..

Historique


SECOND EMPIRE

(02/12/1852-04/09/1870)

Proclamé empereur sous le nom de Napoléon III, Louis Napoléon fait son entrée solennelle à Paris le 2 décembre 1852. Il épouse Eugénie Marie de Montijo, aristocrate espagnole, en janvier 1853. Son règne peut se diviser en trois périodes : l'Empire autoritaire jusqu'en 1860 ; l'Empire libéral de 1860 à 1870 puis l'Empire parlementaire en 1870. Durant l'Empire autoritaire, Napoléon III exerce son pouvoir sans partage, contrôle la presse tandis que les journaux pratiquent l'autocensure pour éviter leur suppression. Les préfets exercent une puissance illimitée dans les départements, les maires, les fonctionnaires sont nommés par le gouvernement. Comme sous le Premier Empire, l'Éducation et l'Université sont surveillées. Maintenant les grands principes de la révolution, la souveraineté du peuple est continuée grâce à la consultation par plébiscite. Sur le plan économique, l'essor est important, l'industrialisation se développe ainsi que les organismes de crédit et les grands magasins. Le prestige militaire est accru par la guerre de Crimée qui permet à la France de jouer un rôle international. L'attentat d'Orsini (janvier 1858) n'empêche nullement la France d'intervenir en Italie pour faire triompher le principe des nationalités et permet le rattachement de Nice et de la Savoie par le traité de Turin (mars 1860). Dès 1860, l'Empire évolue vers plus de libertés : traité libre-échangiste de commerce avec l'Angleterre, apparition d'une faible opposition dans le Corps législatif, octroi du droit de grève (1864), libéralisation de la presse (1868). Sur le plan international, la France acquiert la Nouvelle-Calédonie, la Cochinchine et encourage le creusement du canal de Suez par Ferdinand de Lesseps. Au Mexique, le soutien à Maximilien et à l'Autriche est toutefois un échec. Les élections de 1869 sont très mauvaises pour le régime et l'opposition obtient 45 % des voix. Le régime évolue alors vers un Empire parlementaire en appelant Émile Ollivier, chef du parti orléaniste et libéral, au pouvoir. Après Sadowa en 1866 où la Prusse écrase l'Autriche, l'affaire du trône d'Espagne et de la dépêche d'Ems entraînent la guerre qui est déclarée le 19 juillet 1870. Accumulant les revers, l'armée française est encerclée dans Metz puis Napoléon III, malade, capitule à Sedan le 2 septembre. Aussitôt la nouvelle connue, la déchéance de l'Empire est annoncée par Gambetta puis la République est proclamée le 4 septembre. Napoléon III est alors emmené en captivité en Hesse puis part dans le Kent où il meurt en 1873.

cgb.fr utilise des cookies pour vous garantir une meilleure expérience utilisateur et réaliser des statistiques de visites.
Pour faire disparaître le bandeau, vous devez accepter ou refuser leur utilisation en cliquant sur les boutons correspondants.
En savoir plus

x