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bga_674506 - SALYENS Obole scyphate à la corne

SALYENS  Obole scyphate à la corne TTB+
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Type : Obole scyphate à la corne
Date : 60-40 BC.
Métal : argent
Diamètre : 7,5 mm
Poids : 0,29 g.
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire sur un flan ovale, très légèrement décentré au droit de style fin et bien venu à la frappe. Patine foncée avec des reflets dorés
Référence ouvrage :
LT.02545 manque ! ! - D.p. 71, Cf. pl. 14/291-292 obole au croissant - Antonin DEROC CN.95 (1988).p. 355-356  - CN.p. 9-10, fig.2 CN.111
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la MBS 6, n° 2016, n° 1500

Avers


Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Tête à droite, les cheveux relevés et tirés en arrière avec une petite corne à la place des favoris.

Revers


Titulature revers : ANÉPIGRAPHE.
Description revers : Petite corne.

Commentaire


Ce type décrit comme une obole correspond plutôt à une hemiobole
Ce type serait une hémiobole frappé par Marseille avec une production assez longue qui est à envisager, donc des années 400 à 250 avant J.-C. (informations à vérifier).

Historique


SALYENS

(IIe siècle avant J.-C.)

Il existe autour de la création de la drachme lourde de Marseille une légende qui voudrait que cette pièce ait été fabriquée pour aider les Romains à payer rançon aux Gaulois qui avaient assiégé l'Urbs en 390 avant J.-C. Le droit semble inspiré par les belles têtes de la nymphe Aréthuse de Syracuse tandis que le revers a pu être inspiré par les ateliers de la Grande Grèce comme Vélia. Marseille adopta d'ailleurs l'étalon campanien utilisé par Vélia avec une drachme de 3,70 g. Cette pièce constitue un maillon important de l'histoire massaliète. Un lion de Vélia valait deux lions de Marseille et prouve les liens économiques qui unissaient les deux cités face aux dangers étrusques et carthaginois. Il existe aussi des imitations précoces, oeuvres des Salyens de l'arrière pays marseillais. La drachme lourde disparut rapidement.

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