fjt_196526 - PREMIER EMPIRE Médaille BR 41, Bataille d’Austerlitz, refrappe 1805
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Prix : 75.00 €
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Type : Médaille BR 41, Bataille d’Austerlitz, refrappe
Date : 1805
Nom de l'atelier/ville : -
Quantité frappée : ---
Métal : bronze
Diamètre : 41,11 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 38,40 g.
Tranche : lisse
Poinçon : en creux poinçon et BR
Degré de rareté : R1
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : BATAILLE - D’AUSTERLITZ.
Description avers : Tête laurée de Napoléon à droite ; en-dessous II. DECEMBRE/ MDCCCV..
Revers
Titulature revers : BATAILLE */ D’AUSTERLITZ/ .11. DEC. M. DCCCV. FRIM.AN.XIV..
Description revers : Bustes laurés et affrontés d’Alexandre de Russie et de François d’Autriche; en-dessous ANDRIEU.F DENON F..
Commentaire
Refrappe datant de la fin du XIXè siècle.
La bataille d’Austerlitz, surnommée la « bataille des Trois Empereurs », se déroule le 2 décembre 1805 au sud de la Moravie (République tchèque), et plus précisément entre Brünn et Austerlitz. Après neuf heures de combats, la Grande Armée de Napoléon bat les forces autrichiennes de l’empereur François Ier et celle du tsar Alexandre. L'Angleterre, bien qu'invaincue, reste seule, ce qui met fin à la troisième coalition. Outre son importance stratégique, cette bataille est considérée comme le chef d'œuvre tactique de Napoléon, et, est encore enseignée de nos jours dans de nombreuses écoles militaires. C’est, en effet, la seule bataille où Napoléon a pu choisir le terrain, y amener l'ennemi et lui imposer son plan : les autres ont été soit des batailles de rencontre plus ou moins improvisées (Marengo, Iéna, Eylau, Lutzen, Dresde), soit des forcements de positions où l'ennemi préféra attendre l'Empereur (Friedland, Wagram, la Moskowa).
La bataille d’Austerlitz, surnommée la « bataille des Trois Empereurs », se déroule le 2 décembre 1805 au sud de la Moravie (République tchèque), et plus précisément entre Brünn et Austerlitz. Après neuf heures de combats, la Grande Armée de Napoléon bat les forces autrichiennes de l’empereur François Ier et celle du tsar Alexandre. L'Angleterre, bien qu'invaincue, reste seule, ce qui met fin à la troisième coalition. Outre son importance stratégique, cette bataille est considérée comme le chef d'œuvre tactique de Napoléon, et, est encore enseignée de nos jours dans de nombreuses écoles militaires. C’est, en effet, la seule bataille où Napoléon a pu choisir le terrain, y amener l'ennemi et lui imposer son plan : les autres ont été soit des batailles de rencontre plus ou moins improvisées (Marengo, Iéna, Eylau, Lutzen, Dresde), soit des forcements de positions où l'ennemi préféra attendre l'Empereur (Friedland, Wagram, la Moskowa).