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bga_734254 - NERVIENS (Belgique actuelle) Potin dit “au rameau”, cheval à droite

NERVIENS (Belgique actuelle) Potin dit “au rameau”, cheval à droite TTB
160.00 €
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Type : Potin dit “au rameau”, cheval à droite
Date : Ier siècle avant J.-C.
Métal : potin
Diamètre : 20 mm
Poids : 4,32 g.
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Monnaie centrée au revers, avec de jolis détails. Une belle patine sombre
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Axe vertical, formé de six ou sept globules, accosté de quatre mèches ondulées de part et d'autre ; bourrelet périphérique.

Revers


Titulature revers : ANÉPIGRAPHE.
Description revers : Cheval stylisé à droite, divers ornements mal venus (globules et croissants) entre les jambes, devant la croupe et au-dessus du dos ; bourrelet périphérique.

Commentaire


Il est toujours tentant de rapprocher ce potin au rameau du beau potin DT. 218 de style fin. Ce potin dégénéré, avec le cheval à droite, est le plus courant de la série. Il reste pourtant assez rare sur le marché, surtout en bel état ! Si l'attribution traditionnelle est aux Nerviens, les Atrébates ont aussi été proposés.

Historique


NERVIENS (Belgique actuelle)

(IIe - Ier siècle avant J.-C.)

Les Nerviens appartiennent au grand groupe belge. Leur territoire était très vaste et s'étendait sur le nord de la Belgique actuelle, situé entre Escaut et Sambre. Ils avaient pour voisins les Ménapiens, les Éburons, les Rèmes, les Bellovaques, les Viromanduens et les Atrébates. Ils avaient plusieurs peuples clients dont les Ceutrons et les Lévaques. En 57 avant J.-C., ils fournirent un contingent de cinquante mille hommes à la coalition belge, dirigée par les Bellovaques. César les décrit comme " les plus farouches des Belges ". Ils furent défaits à la bataille de la Sambre et décimés. Seuls cinq cents guerriers auraient survécu sur les soixante mille engagés. Ils se soumirent et reçurent la protection des Romains, ce qui ne les empêcha pas, en 54 avant J.-C., de rejoindre la sédition d'Ambiorix, chef éburon qui se révolta contre César et assiégea Quintus Cicéron, lequel fut finalement dégagé par son chef. Ils se préparaient à la guerre quand César conduisit ses troupes sur leur territoire et les écrasa en 53 avant J.-C. Néanmoins, ils fournirent encore un contingent de cinq mille hommes afin de secourir Vercingétorix assiégé dans Alésia. César (BG. II, 4, 15-17, 19, 23, 28, 29, 32 ; V, 24, 38, 39, 41, 42, 45, 46, 48, 56, 58 ; VI, 2, 3, 29 ; VII, 75). Strabon (G. IV, 3, 4).

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