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v19_1579 - Monnaie satirique, dix centimes Napoléon III, tête nue, regravée 1852 Paris F.133/1

Monnaie satirique, dix centimes Napoléon III, tête nue, regravée 1852 Paris F.133/1 TTB
MONNAIES 19 (2004)
Prix de départ : 125.00 €
Estimation : 250.00 €
Prix réalisé : 245.00 €
Nombres d'offres : 8
Offre maximum : 275.00 €
Type : Monnaie satirique, dix centimes Napoléon III, tête nue, regravée
Date : 1852
Nom de l'atelier/ville : Paris
Quantité frappée : 642898
Métal : bronze
Diamètre : 30 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 9,88 g.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
Usure régulière et moyenne sur le rebord des ailes de l’aigle. Très bel exemplaire avec une patine marron

Avers


Titulature avers : NAPOLEON III EMPEREUR// (LEVRETTE) 1852 (MM).
Description avers : Tête nue de Napoléon III à gauche, regravure avec la barbiche et la moustache effacées, la chevelure redessinée et un chignon sur l’arrière de la tête.

Revers


Titulature revers : EMPIRE FRANÇAIS// *DIX CENTIMES*.
Description revers : Aigle debout de face sur un foudre, les ailes ouvertes, la tête tournée à droite ; au-dessous, A.

Commentaire


Habile regravure qui a transformé Napoléon III en Eugénie de Montijo, son épouse. Rare et intéressante monnaie satirique.

Historique


SATIRIQUES - GUERRE DE 1870 ET BATAILLE DE SEDAN

Durant la guerre de 1870, l'armée de Châlons commandée par Mac-Mahon compte à partir du 15 août la présence de Napoléon III et tente de se porter au secours de Bazaine enfermé dans Metz avec l'armée du Rhin. Le 21 août, l'armée de Châlons part rejoindre Mac-Mahon mais celui-ci est encerclé. Battue à plusieurs reprises notamment à Beaumont, l'armée est rejetée puis encerclée à Sedan par le généralissime prussien Moltke et ce malgré les efforts du commandant Lambert qui, blessé, se bat avec ses marsouins jusqu'à la dernière cartouche. Le 2 septembre 1870, écrasés par le feu de l'artillerie allemande, Napoléon III et 83.000 soldats de l'armée française se rendent au roi de Prusse. Le 3 septembre, Napoléon III et Guillaume Ier se rencontrent tandis que Paris apprend la défaite et la captivité de l'empereur. Les manifestations éclatent aux cris de "déchéance ! déchéance !". Le 4 septembre, Napoléon III est déchu tandis qu'un gouvernement de défense nationale se met en place.

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