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fme_641304 - MAROC - PROTECTORAT FRANÇAIS Médaille, Étoile de chevalier de l’ordre du Ouissam alaouite

MAROC - PROTECTORAT FRANÇAIS Médaille, Étoile de chevalier de l’ordre du Ouissam alaouite TTB+
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2021)
Prix : 100.00 €
Type : Médaille, Étoile de chevalier de l’ordre du Ouissam alaouite
Date : n.d.
Métal : argent
Diamètre : 110 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 20,65 g.
Tranche : lisse
Poinçon : Tête de sanglier et losange
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène. Traces de manipulation et quelques rayures au revers

Avers


Titulature avers : (LÉGENDE EN ARABE).
Description avers : Légende en 2 lignes dans le médaillon émaillé au centre d’un étoile à 5 branches émaillées blanc.

Revers


Titulature revers : ANÉPIGRAPHE.
Description revers : Parsol chérifien, symbole du pouvoir du Sultan Marocain.

Commentaire


Dimensions de l’étoile : 42 mm
L’ordre du Ouissam (ou Wissam) alaouite est un ordre honorifique marocain créé le 11 janvier 19131 (2 safer 1331 AH), alors sous le nom d'ordre du Ouissam alaouite chérifien, peu après l'instauration du protectorat français et sous le règne de Moulay Youssef. Comme l’ordre du Trône du Maroc, l’ordre du Ouissam alaouite est considéré comme l’équivalent de l’ordre national de la Légion d’honneur en France.
La distinction, ou décoration, du Ouissam alaouite est toujours décernée aujourd'hui aux ministres, aux diplomates, aux militaires, ainsi qu'aux personnalités étrangères ayant rendu des services éminents au Royaume. Les récipiendaires sont nommés ou promus par dahir (décret) du roi du Maroc, qui est le grand maître de l’ordre.

Historique


MAROC - PROTECTORAT FRANÇAIS

1912-1956

Le Maroc s'ouvre au commerce européen à la fin du XVIIIe siècle. Le pays reste partagé au XIXe siècle entre l'influence française (bombardement de Tanger et Mogador), britannique et espagnole et devient un enjeu de la rivalité de ses puissances, auquelles se joint l'Allemagne en 1905. L'incident d'Agadir en 1911 est réglé par la négociation entre la France et l'Allemagne qui accepte le protectorat français sur le Maroc contre une bande de territoire au Congo. Lyautey, résident général, pacifie le pays tandis que le Haut-Atlas résiste jusqu'en 1934. À la suite de grands travaux, le pays est rapidement transformé mais la France impose de plus en plus son administration directe sans tenir compte du protectorat. Le nationalisme ne cesse alors de gagner du terrain et la défaite de 1940 entraîne des manifestations de plus en plus importantes.

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