+ Filtres
Nouvelle Recherche
Filtres
En Stock Mot(s) exact(s) Titre uniquement
BoutiqueChargement...
Etat Chargement...
PrixChargement...
contenu

v51_0095 - MACÉDOINE - ROYAUME DE MACÉDOINE - PHILIPPE III ARRHIDÉE Hemidrachme

MACÉDOINE - ROYAUME DE MACÉDOINE - PHILIPPE III ARRHIDÉE Hemidrachme SUP/TTB+
MONNAIES 51 (2011)
Prix de départ : 450.00 €
Estimation : 750.00 €
lot invendu
Type : Hemidrachme
Date : c. 323-317 AC.
Nom de l'atelier/ville : Phénicie, Marathos
Métal : argent
Diamètre : 13,5 mm
Axe des coins : 11 h.
Poids : 2,02 g.
Degré de rareté : R3
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire sur un petit flan ovale, bien centré des deux côtés avec les grènetis visibles. Très beau portrait d’Héraklès de style fin bien venu à la frappe. Joli revers à l’usure superficielle. Jolie patine de collection ancienne avec des reflets dorés
Référence ouvrage :
MP.166 p. 434, pL CXLI - M.112  - Cop.-  - Gülnar 2/-  - HGCS. 10/-
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la vente Münz Zentrum 68, 25 avril 1990, n° 101

Avers


Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Tête imberbe d'Héraklès à droite, coiffée de la léonté, nouée sous le cou ; grènetis ciruculaire perlé.

Revers


Description revers : Zeus aétophore assis à gauche sur un trône avec dossier, les jambes parallèles, nu jusqu'à la ceinture, tenant un aigle posé sur sa main droite et un long sceptre bouleté de la gauche ; dans le champ à gauche, un monogramme, un autre sous le trône ; grènetis circulaire perlé.
Légende revers : FILIPPOU/ (NUA)/ (ARi).
Traduction revers : (de Philippe).

Commentaire


Semble de même coin de droit que l’exemplaire du British Museum (MP., p. 434, n° P. 166b, pl. CXLI, provenant de Rollin en 1910. Le British Museum possède une seconde hemidrachme provenant de la collection Stirling en 1854).

Historique


MACÉDOINE - ROYAUME DE MACÉDOINE - PHILIPPE III ARRHIDÉE

(323-316 avant J.-C.)

Monnayage au nom de Philippe III et au type d'Alexandre

Philippe, fils de Philippe II et le demi-frère d'Alexandre, n'avait pas toute sa raison. À la mort du conquérant et devant la carence du pouvoir, afin de maintenir la fiction de l'unité de l'Empire, il fut proclamé roi, mais en fait, il n'avait aucun pouvoir. Il fut assassiné à l'instigation d'Olympias, la mère d'Alexandre, en 316 avant J.-C.

cgb.fr utilise des cookies pour vous garantir une meilleure expérience utilisateur et réaliser des statistiques de visites.
Pour faire disparaître le bandeau, vous devez accepter ou refuser leur utilisation en cliquant sur les boutons correspondants.
En savoir plus

x