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fjt_078906 - LYONNAIS - CONSULAT DE LYON Jeton bronze doré 30, Camille Perrichon, troisième prévôté 1735

LYONNAIS - CONSULAT DE LYON Jeton bronze doré 30, Camille Perrichon, troisième prévôté TTB
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2011)
Prix : 55.00 €
Type : Jeton bronze doré 30, Camille Perrichon, troisième prévôté
Date : 1735
Métal : bronze doré
Diamètre : 30 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 8,30 g.
Tranche : lisse
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire avec une usure régulière et d’importantes traces anciennes de dorure de couleur rose
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : DE. LA. 3E. PREVTE. D. MARCH. D. MR. C. PERRICHON. CHEVR. D. LORD. D. ROY..
Description avers : Écu ovale aux armes de Camille Perrichon, entouré du collier de l’ordre, placé sur un cartouche et supporté par deux lions, sommé d’une couronne comtale, au-dessous 17 - 35.
Traduction avers : (de la troisième prévôté des marchands de Monsieur Camille Perrichon, chevalier de l’ordre du roi).

Revers


Description revers : Écusson ovale aux armes de la Ville, placé sur un cartouche que soutient une console et qui a pour tenants les figures allégoriques nues et debout du Rhône et de la Saône laissant échapper l’eau de leurs urnes.

Commentaire


Cet exemplaire a été anciennement doré. Les armes de Camille Perrichon portent écartelées d’or et vairé d’argent et de gueules ; à la bordure componée d’argent et de gueules.

Historique


LYONNAIS - CONSULAT DE LYON

La série des jetons consulaires de la ville de Lyon remonte à 1624, date à laquelle sont distribués pour la première fois à titre de présent d'honneur des jetons aux membres, officiers et personnages dont le Consulat avait à récompenser les mérites. Les premières distributions sont intermittentes et elles ne deviennent régulières qu'à partir de 1652 où semble être adoptée la règle de distribution de jetons d'argent à la fin des deux années de chaque prévôté. Témoignage honorifique plus qu'une rémunération, ces jetons étaient pour les consuls (appelés aussi échevins) un souvenir de leur charge et l'occasion de faire représenter leurs armoiries. Par contre, pour les personnages secondaires, les jetons servaient de gratification et ceux-ci préféraient souvent être réglés en espèces. Pour les grands personnages comme l'intendant ou les archevêques, les jetons étaient accumulés et enrichissaient l'argenterie familiale. Le nombre des bénéficiaires des bourses, fixé à neuf en 1652, ne cesse d'augmenter et de 900 jetons, les distributions atteignent 4.400 jetons en 1745. Les jetons de cuivre destinés aux employés du Consulat sont frappés en nombre incertain. La gravure de ces jetons est la plupart du temps l'œuvre du graveur de la Monnaie de Lyon, par exemple Clair I Jacquemin ou Aimé Jacquemin tandis que leur fabrication est confiée à la Monnaie des Médailles qui a le privilège exclusif de la frappe à partir de 1672. De nombreuses études portent sur la série des jetons consulaires, la plus récente et la mieux documentée est celle de Jean Tricou, Les jetons consulaires de Lyon, Paris, Bourgey, 1955.

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