fme_610672 - LOUIS XVIII Médaille, Érection de la barrière Poissonnière
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Type : Médaille, Érection de la barrière Poissonnière
Date : 1824
Nom de l'atelier/ville : 75 - Paris
Métal : bronze
Diamètre : 50,5 mm
Graveur : ANDRIEU Jean-Bertrand (1761-1822) / Depuymaurin
Poids : 65,08 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine marron hétérogène avec des marques de coups et d’usure. Présence de quelques rayures
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : LUDOVICUS XVIII - FRANC. ET. NAV. REX..
Description avers : Buste à droite de Louis XVIII, signé : ANDRIEU F. et DE PUYMAURIN DIREXIT.
Revers
Titulature revers : LE 25 AOUT 1824 / FÊTE DE S. M. LOUIS XVIII. / POSE DE LA IER. PIERRE / DE LA BARRIÈRE POISSONNIÈRE. / PAR M. LE COMTE CHABROL DE / VOLVIC CONSR. D'ÉTAT PRÉFET DE LA SEINE // ASSISTE DE M. M. CRETTE DE PALLUEL MAIRE / DU 3E. ARRONDT. DE PARIS ; VICOMTE / D'AUDIFFRET DEUR. DE L'OCTROI ; / ST. PIERRE LESPERRET. BOUTELAUD/ ET BOMPART / REGISSEURS. // MR. JACQUES / MOLINOS ARCHITECTE / DE LA VILLE. // MR. LE VICOMTE / HERICART DE THURY / CONSER. D'ETAT DIRECTEUR / DES TRAVAUX DE PARIS..
Description revers : Vue de la barrière poissonnière entre une légende en lignes horizontales et verticales.
Commentaire
La barrière Poissonnière est une ancienne barrière d'octroi de l'enceinte des Fermiers généraux située rive droite à Paris, sur l'actuel boulevard de Rochechouart au niveau du boulevard de Magenta.
Le lendemain du 10 août 1792, c'est près de la barrière Poissonnière, dans une vaste tranchée creusée à cet effet, que les 400 à 500 cadavres des gardes suisses tués dans les escaliers, les cours et les jardins des Tuileries furent jetés pêle-mêle.
Cette barrière n'était au départ qu'une simple entrée l'inscription porte Sainte-Anne sans aucune décoration. Toutefois ce nom fut rapidement appelée par la population par barrière Poissonnière jusqu'en 1815, date à laquelle elle prit le nom de barrière du Télégraphe car c'est par cette porte qu'on se rendait à Montmartre ou se trouvait le télégraphe de Chappe.
En 1826, on construisit à l'entrée un pavillon à 4 colonnes surmontée d'une arcature évidée, avec une entrée large de 300 mètres..
Le lendemain du 10 août 1792, c'est près de la barrière Poissonnière, dans une vaste tranchée creusée à cet effet, que les 400 à 500 cadavres des gardes suisses tués dans les escaliers, les cours et les jardins des Tuileries furent jetés pêle-mêle.
Cette barrière n'était au départ qu'une simple entrée l'inscription porte Sainte-Anne sans aucune décoration. Toutefois ce nom fut rapidement appelée par la population par barrière Poissonnière jusqu'en 1815, date à laquelle elle prit le nom de barrière du Télégraphe car c'est par cette porte qu'on se rendait à Montmartre ou se trouvait le télégraphe de Chappe.
En 1826, on construisit à l'entrée un pavillon à 4 colonnes surmontée d'une arcature évidée, avec une entrée large de 300 mètres..