fme_1078550 - LOUIS-PHILIPPE Ier Médaille, inauguration de la colonne de Juillet (Bastille)
75.00 €
Quantité
Ajouter au panier

Type : Médaille, inauguration de la colonne de Juillet (Bastille)
Date : 1845
Nom de l'atelier/ville : 75 - Paris
Métal : bronze
Diamètre : 50 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : CAUNOIS François Augustin (1787-1859)
Poids : 60,19 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec des traces de rayures, coups et manipulation. Présence de taches d’oxydation. Médaille anciennement nettoyée. Rayures sur la tranche
Avers
Titulature avers : LOUIS-PHILIPPE IER - ROI DES FRANÇAIS.
Description avers : Tête laurée de Louis-Philippe à droite.
Revers
Titulature revers : COLONNE - DE JUILLET // 27 28 29 - 1830 // A LA GLOIRE / DES CITOYENS / MORTS - POUR / LA DÉFENSE / DES LOIS/.
Description revers : Colonne de juillet .
Commentaire
Médaille signée CAUNOIS F. François Augustin Caunois est un sculpteur et médailleur français, né le 13 juin 1787 à Bar-le-Duc et mort en 1859 à Paris.
En tant que médailleur, Caunois participa à plusieurs concours monétaires. On connait de lui un essai pour le concours de 1830 (pièce de 100 Francs à l’effigie de Louis-Philippe Ier). De même, il fit partie des 25 graveurs qui participèrent au concours monétaire de 1848. Il s'agissait de créer de nouvelles pièces de 20 francs, 5 francs, et 10 centimes. François Augustin Caunois proposa une pièce de 5 francs, mais le projet d'Eugène-André Oudiné fut retenu.
La colonne de Juillet est une colonne élevée sur la place de la Bastille à Paris, entre 1835 et 1840 en commémoration des Trois Glorieuses. Ces trois journées de la révolution de juillet 1830 amenèrent la chute de Charles X et du régime de restauration, puis l'instauration de la monarchie de juillet, avec le règne de Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, devenu roi des Français.
Sur une plaque, au bas de la colonne, il est écrit :
« À la gloire des citoyens français qui s'armèrent et combattirent pour la défense des libertés publiques dans les mémorables journées des 27, 28, 29 juillet 1830. »
Le fût de la colonne porte le nom des victimes des journées révolutionnaires de juillet 1830 et le sommet est orné d'une sculpture en bronze doré d'Auguste Dumont : Le Génie de la Liberté. Enfin, la colonne est construite au-dessus d'une nécropole accueillant les corps de révolutionnaires tombés pendant les journées de juillet.
Le 27 juillet 1831, Louis-Philippe posa la première pierre de la Colonne, en l'honneur des Trois Glorieuses. Elle fut inspirée par la colonne Trajane de Rome. Elle fut dessinée par l'architecte Jean-Antoine Alavoine, et les travaux ne commencèrent qu'en 1835, où l'on procéda à la fonte des pièces en bronze. La décoration fut réalisée en 1839 par l'architecte Joseph-Louis Duc et la colonne fut terminée en 1840 pour célébrer les dix ans de la révolution.
En tant que médailleur, Caunois participa à plusieurs concours monétaires. On connait de lui un essai pour le concours de 1830 (pièce de 100 Francs à l’effigie de Louis-Philippe Ier). De même, il fit partie des 25 graveurs qui participèrent au concours monétaire de 1848. Il s'agissait de créer de nouvelles pièces de 20 francs, 5 francs, et 10 centimes. François Augustin Caunois proposa une pièce de 5 francs, mais le projet d'Eugène-André Oudiné fut retenu.
La colonne de Juillet est une colonne élevée sur la place de la Bastille à Paris, entre 1835 et 1840 en commémoration des Trois Glorieuses. Ces trois journées de la révolution de juillet 1830 amenèrent la chute de Charles X et du régime de restauration, puis l'instauration de la monarchie de juillet, avec le règne de Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, devenu roi des Français.
Sur une plaque, au bas de la colonne, il est écrit :
« À la gloire des citoyens français qui s'armèrent et combattirent pour la défense des libertés publiques dans les mémorables journées des 27, 28, 29 juillet 1830. »
Le fût de la colonne porte le nom des victimes des journées révolutionnaires de juillet 1830 et le sommet est orné d'une sculpture en bronze doré d'Auguste Dumont : Le Génie de la Liberté. Enfin, la colonne est construite au-dessus d'une nécropole accueillant les corps de révolutionnaires tombés pendant les journées de juillet.
Le 27 juillet 1831, Louis-Philippe posa la première pierre de la Colonne, en l'honneur des Trois Glorieuses. Elle fut inspirée par la colonne Trajane de Rome. Elle fut dessinée par l'architecte Jean-Antoine Alavoine, et les travaux ne commencèrent qu'en 1835, où l'on procéda à la fonte des pièces en bronze. La décoration fut réalisée en 1839 par l'architecte Joseph-Louis Duc et la colonne fut terminée en 1840 pour célébrer les dix ans de la révolution.







Signaler une erreur
Imprimer la page
Partager ma sélection
Poser une question
Déposer / vendre
Fiche




