fme_995064 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Plaquette, Pupilles de la Nation
100.00 €
Quantité
Ajouter au panier

Type : Plaquette, Pupilles de la Nation
Date : n.d.
Métal : bronze argenté
Diamètre : 90 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : VERNIER Émile Séraphin (1852-1927)
Poids : 128,5 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène à reflet irisé, traces d’oxydations et rayures
Avers
Titulature avers : PUPILLES DE LA NATION .
Description avers : Allégorie tenant la nation couronné d’une branche de laurier tendant la main vers deux enfants. Dans un arc lobé supérieur on distingue un soldat décédé. Signé en bas à droite : Séraphin .
Revers
Titulature revers : M.LEHMANN / MEMBRE DE LA / SECTION PERMANENTE / DE / L’OFFICE NATIONAL .
Description revers : Légende en six lignes.
Commentaire
Exemplaire dans sa boite bleu dont l’intérieur beige se décolle
Hauteur 90 mm largeur : 58 mm
Docteur en droit, M. Lehmann est président d’abord de l’Union nationale des mutilés et réformés puis de l’Union fédérale à partir de 1919. Il devient par la suite chef de Cabinet de Maginot, quand celui-ci occupe le poste de ministre des Pensions. Durant sa carrière il s’occupera de mettre en avant les droits des enfants pupilles de la nation notamment dans l’obtention de bourses d’études
En France, la qualité de pupille de la Nation est attribuée par l'État aux enfants de moins de vingt-et-un ans dont un des parents a été blessé ou tué lors d'une guerre, d'un attentat terroriste ou en rendant certains services publics.
Hauteur 90 mm largeur : 58 mm
Docteur en droit, M. Lehmann est président d’abord de l’Union nationale des mutilés et réformés puis de l’Union fédérale à partir de 1919. Il devient par la suite chef de Cabinet de Maginot, quand celui-ci occupe le poste de ministre des Pensions. Durant sa carrière il s’occupera de mettre en avant les droits des enfants pupilles de la nation notamment dans l’obtention de bourses d’études
En France, la qualité de pupille de la Nation est attribuée par l'État aux enfants de moins de vingt-et-un ans dont un des parents a été blessé ou tué lors d'une guerre, d'un attentat terroriste ou en rendant certains services publics.