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fme_834195 - DIRECTOIRE Médaille, Traité de Campo-Formio, refrappe

DIRECTOIRE Médaille, Traité de Campo-Formio, refrappe SUP/TTB+
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2023)
Prix : 150.00 €
Type : Médaille, Traité de Campo-Formio, refrappe
Date : (1797)
Nom de l'atelier/ville : Monnaie de Paris
Métal : bronze
Diamètre : 57,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : DUVIVIER Benjamin (1730-1819)
Poids : 122,39 g.
Tranche : lisse + corne BRONZE
Poinçon : corne BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène, des taches d’oxydation visibles. Présence de quelques coups sur la tranche

Avers


Titulature avers : BONAPARTE GENAL. EN CHEF DE L'ARMÉE FRANCSE. EN ITALIE // OFFERT A L'INSTITUT NATION. PAR B. DUVIVIER A PARIS.
Description avers : Buste du général Bonaparte, en uniforme, à droite. Signé : B. DUVIVIER F..

Revers


Titulature revers : LES SCIENCES ET LES ARTS RECONNAISSANTS // À L’EXERGUE : PAIX SIGNEE / L'AN 6. REP. FR..
Description revers : Le général Bonaparte, à cheval, tenant une branche d'olivier, précédé de la Prudence et de la Valeur, celle-ci tenant les rênes du cheval ; la Victoire plane derrière, elle place de la main droite une couronne au-dessus de la tête du général, et tient de la gauche l'Apollon du Belvédère, et des manuscrits. Signé : B. DUV.

Commentaire


Cette médaille, gravée par Pierre-Simon-Benjamin Duvivier, parut au mois d'avril 1798, Moniteur du 28 germinal an 6 (17 avril 1798).
Le traité de Campo-Formio est signé le 18 octobre 1797 (26 vendémiaire an VI) entre Napoléon Bonaparte, général en chef de l'armée française en Italie représentant la République française et le comte Louis de Cobentzel, représentant l'empereur François II du Saint-Empire. Il met fin une première fois à la guerre franco-autrichienne..

Historique


DIRECTOIRE

(26/10/1795-9-10/11/1799)

Lors de la séparation de la Convention, le 25 octobre 1795, un nouveau pouvoir exécutif prévu par la constitution thermidorienne se met en place. Cette constitution prévoit de confier le pouvoir à un directoire de cinq membres dont chacun préside à tour de rôle avec remplacement d'un membre tous les deux ans. Ce directoire nomme les ministres et les fonctionnaires, dirige la politique étrangère et fait exécuter les lois mais il ne les élabore pas et n'a aucun contrôle des deniers publics.
Le pouvoir est partagé avec deux chambres : le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens qui forment le Corps législatif. Ce pouvoir est résolu à se maintenir face au risque d'une restauration monarchique ou d'une réaction jacobine mais il est surtout paralysé par la crise financière et doit renoncer à l'assignat en 1796. Le remplacement des assignats par les mandats territoriaux n'inspire pas plus de confiance et cette nouvelle monnaie fiduciaire est supprimée en 1797.
Face à la misère et aux tentatives de déstabilisation, le Directoire, accusé d'être une "république bourgeoise", revient aux mesures révolutionnaires et policières. Par ailleurs, depuis 1792, la guerre est ininterrompue et l'influence des chefs militaires est croissante. En 1799, les partisans d'un pouvoir fort, dont Sieyès, se retrouvent au Directoire et ils ouvrent la voie du pouvoir à Bonaparte, de retour d'Égypte. Le coup d'État des 18 et 19 brumaire an VIII permet l'instauration d'une dictature militaire sous le nom de Consulat.

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