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v46_0684 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Médaille BR 20, Hommage aux braves

DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Médaille BR 20, Hommage aux braves SUP
MONNAIES 46 (2010)
Prix de départ : 120.00 €
Estimation : 200.00 €
Prix réalisé : 120.00 €
Nombres d'offres : 1
Offre maximum : 238.00 €
Type : Médaille BR 20, Hommage aux braves
Date : 1848
Quantité frappée : ---
Métal : bronze
Diamètre : 19,88 mm
Axe des coins : 9 h.
Poids : 3,11 g.
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Superbe médaille malgré une petite faiblesse de frappe sur le personnage de Marianne. Une jolie patine de collection recouvre cet exemplaire très agréable
Référence ouvrage :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de MONNAIES 37, n° 1229

Avers


Titulature avers : EXEMPLE AUX TYRANS/ 1848.
Description avers : Au centre, dans un cercle, profil de la liberté à gauche, tout autour REPUBLIQUE FRANÇAISE.

Revers


Titulature revers : HOMMAGE AUX BRAVES/ 23.24.25 FR 1848.
Description revers : Au centre, dans un cercle, sur trois lignes ; LIBERTÉ/ EGALITÉ/ FRATERNITÉ.

Commentaire


Axe à 9 h..

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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