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v26_1512 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Boîte séditieuse en forme de médaille

DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Boîte séditieuse en forme de médaille SUP
MONNAIES 26 (2006)
Prix de départ : 150.00 €
Estimation : 400.00 €
Prix réalisé : 433.00 €
Nombres d'offres : 12
Offre maximum : 850.00 €
Type : Boîte séditieuse en forme de médaille
Date : (juillet 1850)
Date : 1850
Métal : bronze
Diamètre : 56,5 mm
Graveur : inconnu
Poids : 82,51 g.
Degré de rareté : R3
Commentaires sur l'état de conservation :
Médailles en superbe état de conservation avec tout leur brillant de frappe
Référence ouvrage :
Collignon47

Avers


Titulature avers : SUR LE COUVERCLE.
Description avers : Tête de la liberté à gauche suivie de la légende : VOILA/ LA/ MEILLEURE/ DES/ RÉPUBLIQUES.

Revers


Description revers : Dans une guirlande de chêne, inscription latine sur quatre lignes : JUS/ DIVINUM/ SALUS/ POPULI.
Traduction revers : (La loi divine est le salut des peuples).

Commentaire


Cette boîte, la quatrième connue, s’ouvre en deux parties avec pas de vis. L’intérieur est recouvert d’une feutrine verte. Une fois vissée, elle ressemble à une médaille de 8 mm d’épaisseur. A l’intérieur, on trouve neuf petites médailles de la branche aînée des Bourbons, en cuivre jaune : Henri de France (légende : Avenir / Prospérité ; 18 mm), Henri III (légende : Bonté / Valeur ; 10,5 mm), Louis XVIII (légende : Génie / Science ; 10,5 mm), Charles Dix (légende : Piété / Popularité ; 10,5 mm), S.A.R.M. le Duc d’Angoulême (légende : Droiture, Générosité ; 10,5 mm), Duchesse d’Angoulême (légende : Infortune / Fermeté ; 10,5 mm), S.A.R.M. le Duc de Berry (légende : Malheur / Fatalité ; 10,5 mm), la Duchesse de Berry (légende : Douceur / Humanité) et Madame de Chambord (légende : Esprit / Tradition ; 10,5 mm).

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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