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fjt_257563 - CONFIANCE (MONNAIES DE...) Essai de Galle à l'effigie de Mirabeau 1792

CONFIANCE (MONNAIES DE...) Essai de Galle à l effigie de Mirabeau TTB+
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Type : Essai de Galle à l'effigie de Mirabeau
Date : (1792)
Date : 1792
Nom de l'atelier/ville : Lyon
Métal : cuivre
Diamètre : 34 mm
Axe des coins : 12 h.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R1
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : HONORE RIQUETTI / MIRABEAU..
Description avers : Tête laurée à gauche de Mirabeau.

Revers


Titulature revers : MÉTAL / DE CLOCHE / FRAPPÉ L’AN IER. / DE LA RÉPUB.QUE / FRANÇAISE, PAR / LES ARTISTES / RÉUNIS / DE LYON.
Description revers : en neuf lignes dans le champ.

Commentaire


La qualité du métal est remarquable par rapport aux frappes monétaires usuelles dites en “métal de cloche”.
Mirabeau (1749-1791) venait d'être nommé président de l'Assemblée quand il mourut le 2 avril. Il fut décidé que son corps serait transporté au Panthéon, affecté dès le 3 avril 1791 pour recevoir les grands hommes. Mirabeau fut le premier à y être inhumé. Il en sera enlevé et remplacé par Marat après le rapport défavorable de Chénier le 25 novembre 1793. D’après Hennin, p. 251, “le 25 août 1792, le député Reboul fit un rapport à l’Assemblée Législative sur des nouveaux procédés indiqués par des artistes de Lyon pour fabriquer des monnaies en métal de cloche, beaucoup plus parfaites que celles qui avaient été frappées, jusque-là. Il cita dans ce rapport de belles médailles qui avaient été présentées aux comités par ces mêmes artistes comme modèles et essais de ce qu’ils proposaient de faire en grand”. L’Assemblée Nationale adopta plusieurs décrets pour leur frappe.

Historique


CONFIANCE (MONNAIES DE...)

(1791-1793)

Les Frères Monneron firent fabriquer en Angleterre par Matthew Boulton, grâce à la machine à vapeur de Watt, des pièces de 2 et 5 sols en grande quantité dans l'atelier de Soho à Birmingham, à partir de la fin de l'année 1791. Ces monnaies de nécessité auraient dû suppléer à la pénurie monétaire qui régnait en France et leur qualité technique et esthétique était bien supérieure aux médiocres productions officielles contemporaines en métaux vils.
En mars 1792, les Monneron firent faillite et Pierre s'enfuit. Son frère Augustin reprit l'affaire, mais une loi du 3 mai 1792 interdit la fabrication des monnaies privées. En septembre, un décret interdit la commercialisation des pièces de confiance. Ces monnaies de nécessité circulèrent en fait jusqu'à la fin de 1793.

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