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v20_1149 - Concours de 20 francs, piéfort de Gayrard, deuxième concours 1848 Paris VG.3051 var.

Concours de 20 francs, piéfort de Gayrard, deuxième concours 1848 Paris VG.3051 var. TTB
MONNAIES 20 (2004)
Prix de départ : 120.00 €
Estimation : 180.00 €
Prix réalisé : 155.00 €
Nombres d'offres : 2
Offre maximum : 169.00 €
Type : Concours de 20 francs, piéfort de Gayrard, deuxième concours
Date : 1848
Nom de l'atelier/ville : Paris
Métal : bronze
Diamètre : 21 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 10,07 g.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
Traces de corrosion au droit sur le visage avec le métal poreux. Exemplaire légèrement nettoyé. Légère patine marron
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : RÉPUBLIQUE - FRANÇAISE.
Description avers : Buste de la République de face diadémée ; non signé.

Revers


Description revers : 20/ FRANCS/ 1848 en trois lignes dans une couronne formée d’une branche de chêne et d’une branche de laurier.

Commentaire


Ce piéfort avec la tranche lisse n’est signalé ni par Mazard ni par Gadoury qui l’indiquent uniquement avec la tranche inscrite.

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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