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fme_791237 - ASSURANCES Plaquette, Union mutuelle des métreurs et employés en couverture-plomberie

ASSURANCES Plaquette, Union mutuelle des métreurs et employés en couverture-plomberie TTB+
75.00 €
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Type : Plaquette, Union mutuelle des métreurs et employés en couverture-plomberie
Date : 1928
Métal : bronze argenté
Diamètre : 70,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : COUDRAY Marie Alexandre Lucien (1864-1932)
Poids : 133,98 g.
Tranche : lisse + corne BRONZE
Poinçon : corne BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine grise hétérogène avec des taches d’oxydation. Présence de quelques coups, notamment sur la tranche, et de quelques rayures
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : MUTUALITE.
Description avers : Vieil homme assis à gauche, un jeune forgeron à droite, étendant sa main au dessus de sa tête. Allégorie féminine à l’arrière plan. Signé : LCOUDRAY.

Revers


Titulature revers : L’UNION MUTUELLE / DES / METREURS - ET EMPLOYES EN / COUVERTURE - PLOMBERIE // BAUDIN HENRI / 1903-1928 // RECONNAISSANCE.
Description revers : Légende gravée en 7 lignes, au centre de la composition un cartouche posé sur une branche de laurier.

Commentaire


La médaille est décernée à Henri Baudin.
Dimensions : 70,5*55,5 mm.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

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