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fme_793081 - ASSURANCES Médaille, Réunion des assureurs particuliers du quartier maritime, Hommage au patron

ASSURANCES Médaille, Réunion des assureurs particuliers du quartier maritime, Hommage au patron SUP
100.00 €
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Type : Médaille, Réunion des assureurs particuliers du quartier maritime, Hommage au patron
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : 76 - Fécamp
Métal : bronze doré
Diamètre : 68,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 101,68 g.
Tranche : lisse + BRONZE
Poinçon : BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec du brillant légèrement visible autour des reliefs. Faible usure

Avers


Titulature avers : REUNION DES ASSUREURS PARTICULIERS DU QUARTIER MARITIME - (FLEUR) FECAMP (FLEUR).
Description avers : Trophée marin composé d’une barque avec une ancre marine, des dauphins, des drapeaux et des rames.

Revers


Titulature revers : HOMMAGE / AU / PATRON BULAN / DU BATEAU PECHEUR / S.T MICHEL / - / CAMPAGNE / 1904.
Description revers : Légende gravée en 7 lignes dans une couronne de chêne et laurier. Signé : ROBINEAU FILS.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

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