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fjt_746752 - ASSURANCES L’Orléanaise 1844

ASSURANCES L’Orléanaise SUP
90.00 €
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Type : L’Orléanaise
Date : (1842-1845)
Date : 1844
Métal : argent
Diamètre : 34,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 15,65 g.
Tranche : lisse
Poinçon : Proue ARGENT
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire superbe avec une très jolie patine de collection
Référence ouvrage :
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection Jean-Paul Saillard

Avers


Titulature avers : LOI DU RECRUTEMENT DE L’ARMÉE// *LOIRET*.
Description avers : Drapeaux militaires, insignes et tambour ; signature DUBOIS.

Revers


Titulature revers : CONTRE LES CHANCES DU TIRAGE AU SORT.
Description revers : Inscription en cinq lignes : SOCIÉTÉ/ D’ASSURANCE/ MUTUELLE/ ORLÉANAISE/ 1844.

Commentaire


Poinçon proue ARGENT : c’est le jeton original .
Le service militaire n'était pas généralisé et les recrutements se faisaient en fonction des besoins définis par le Ministère de la Guerre. Il était donc procédé à un tirage au sort entre les conscrits potentiels. Le risque de tirer un mauvais numéro et donc de partir pour quatre ans de service pouvait être assuré et un remplaçant payé.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

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