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fjt_753003 - ASSURANCES L’Espérance - MARITIME 1853

ASSURANCES L’Espérance - MARITIME SPL
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2022)
Prix : 500.00 €
Type : L’Espérance - MARITIME
Date : 1853
Métal : argent
Diamètre : 37 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 18,80 g.
Tranche : Lisse
Poinçon : Proue (1842 - 1845) ARGENT
Degré de rareté : R3
Commentaires sur l'état de conservation :
De qualité remarquable, magnifique patine orangée aux reflets bleutés
Référence ouvrage :
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection Jean-Paul Saillard

Avers


Titulature avers : IN SPE FIDES.
Description avers : Une jeune femme appuyée sur une ancre jetant des fleurs dans la mer. A ses pieds, des marchandises. Au loin, des navires, dont un bâteau à vapeur. Signé : GIBAULT.

Revers


Titulature revers : COMPAGNIE ANONYME D’ASSURANCES MARITIME / L’ESPERANCE.
Description revers : Inscription en quatre lignes entre deux palmes nouées par un ruban : ORDONNANCE / DU / 25 JANVIER / 1844.

Commentaire


C’est la première fois que nous présentons à la vente ce jeton !.

Historique


ASSURANCES

Sous l'Ancien Régime, l'assurance est avant tout maritime. Elle est un contrat par lequel un particulier s'engage à réparer les pertes liées à un naufrage, moyennant une certaine somme qui lui est payée à l'avance. Ainsi par exemple, on constate qu'au XVIIIème siècle, à Bordeaux, les assurances maritimes sont concentrées entre les mains de quelques grands armateurs comme François Bonnaffé. Une ordonnance de 1681 laisse la plus grande liberté dans les rapports entre assureurs et assurés, d'où la multiplication d'acteurs sur le marché. Toujours à Bordeaux, on voit alors intervenir des compagnies parisiennes, hollandaises, anglaises...
Les assurances non maritimes s'imposent tardivement (milieu du XVIIIème siècle). Elles proposent le plus souvent une garantie contre l'incendie. Exemple : la compagnie d’assurances générales obtint le privilège de Louis XV en 1753 pour la garantie du commerce maritime et pour assurer les maisons contre l’incendie.
Au XIXème siècle, on assiste à l'éclosion d'innombrables compagnies, souvent spécialisées sur des secteurs très pointus, qui vont permettre le développement de l'économie par la mutualisation des risques. Elles se complètent d'associations mutualistes et de secours mutuels.

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