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v18_2069 - 10 francs Cérès Deuxième république, levrette oreille basse 1851 Paris F.504/3

10 francs Cérès Deuxième république, levrette oreille basse 1851 Paris F.504/3 TTB
MONNAIES 18 (2003)
Prix de départ : 100.00 €
Estimation : 180.00 €
Prix réalisé : 116.00 €
Nombres d'offres : 2
Offre maximum : 132.00 €
Type : 10 francs Cérès Deuxième république, levrette oreille basse
Date : 1851
Nom de l'atelier/ville : Paris
Quantité frappée : 3112378
Métal : or
Titre en millième : 900 ‰
Diamètre : 19 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 3,21 g.
Tranche : cannelée
Commentaires sur l'état de conservation :
Usure régulière sur les parties en relief sinon un très bel exemplaire bien centré

Avers


Titulature avers : REPUBLIQUE - FRANÇAISE.
Description avers : Tête de Cérès couronnée d'épis entre un faisceau de licteur surmonté d'une main de Justice, le tout sous une étoile à six rais ; signé L. MERLEY. sous le buste.

Revers


Titulature revers : LIBERTE EGALITE FRATERNITE// (MM) 1851/ A (LEVRETTE).
Description revers : 10/ FRANCS en deux lignes dans une couronne formée d'une branche de laurier et d'une branche de chêne.

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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