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v11_1480 - Un décime Dupré, modification du 2 décimes, frappe fautée 1796 Paris F.127/1 var.

Un décime Dupré, modification du 2 décimes, frappe fautée 1796 Paris F.127/1 var. TB
MONNAIES 11 (2002)
Prix de départ : 152.45 €
Estimation : 304.90 €
Prix réalisé : 290.42 €
Nombres d'offres : 5
Offre maximum : 670.78 €
Type : Un décime Dupré, modification du 2 décimes, frappe fautée
Date : An 4 (1795-1796)
Nom de l'atelier/ville : Paris
Quantité frappée : ---
Métal : cuivre
Diamètre : 31 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 18,77 g.
Tranche : maclée
Degré de rareté : R2
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire net et indiscutable de cette variété

Avers


Titulature avers : REPUBLIQUE FRANÇAISE..
Description avers : Tête de la République aux cheveux longs à gauche, drapée et coiffée d'un bonnet phrygien (Mesdames Tallien ou Récamier) ; au-dessous Dupré* en cursif.

Revers


Titulature revers : UN (POINÇONNÉ EN CREUX) / DÉCIME (ESPACE POUR LE S ARASÉ)..
Description revers : En deux lignes dans le champ, au-dessus de L’AN 4 suivi d'un point et de la lettre d'atelier A encadrés des différents, dans une couronne fermée composée de deux branches de chêne opposées nouées à leur base par un ruban.

Commentaire


Cet exemplaire est fauté avec une double frappe. Cette pièce est semblable à l'exemplaire du FORUM DES AMIS DU FRANC n° 32 où le S de 2 DÉCIMES n'a pas été complètement effacé et apparaît sous le coup de burin. L’exemplaire avec double frappe n’a pas été refondu, mais regravé et le UN est décalé par rapport au 2 effacé et se retrouve ainsi dans la couronne.

Historique


DIRECTOIRE

(26/10/1795-9-10/11/1799)

Lors de la séparation de la Convention, le 25 octobre 1795, un nouveau pouvoir exécutif prévu par la constitution thermidorienne se met en place. Cette constitution prévoit de confier le pouvoir à un directoire de cinq membres dont chacun préside à tour de rôle avec remplacement d'un membre tous les deux ans. Ce directoire nomme les ministres et les fonctionnaires, dirige la politique étrangère et fait exécuter les lois mais il ne les élabore pas et n'a aucun contrôle des deniers publics.
Le pouvoir est partagé avec deux chambres : le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens qui forment le Corps législatif. Ce pouvoir est résolu à se maintenir face au risque d'une restauration monarchique ou d'une réaction jacobine mais il est surtout paralysé par la crise financière et doit renoncer à l'assignat en 1796. Le remplacement des assignats par les mandats territoriaux n'inspire pas plus de confiance et cette nouvelle monnaie fiduciaire est supprimée en 1797.
Face à la misère et aux tentatives de déstabilisation, le Directoire, accusé d'être une "république bourgeoise", revient aux mesures révolutionnaires et policières. Par ailleurs, depuis 1792, la guerre est ininterrompue et l'influence des chefs militaires est croissante. En 1799, les partisans d'un pouvoir fort, dont Sieyès, se retrouvent au Directoire et ils ouvrent la voie du pouvoir à Bonaparte, de retour d'Égypte. Le coup d'État des 18 et 19 brumaire an VIII permet l'instauration d'une dictature militaire sous le nom de Consulat.

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