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v11_2498 - ITALIE - RÉPUBLIQUE DE VENISE - OCCUPATION AUTRICHIENNE 1 lire 1er type 1800 Venise

ITALIE - RÉPUBLIQUE DE VENISE - OCCUPATION AUTRICHIENNE 1 lire 1er type 1800 Venise TTB
MONNAIES 11 (2002)
Prix de départ : 91.47 €
Estimation : 182.94 €
Prix réalisé : 182.94 €
Nombres d'offres : 5
Offre maximum : 251.54 €
Type : 1 lire 1er type
Date : 1800
Nom de l'atelier/ville : Venise
Métal : billon
Titre en millième : 250 ‰
Diamètre : 25 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 4,36 g.
Tranche : striée
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire avec une patine grise. Flan légèrement irrégulier
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : IMP. VENETA MONETA PROVINCIALE.
Description avers : Aigle impériale couronnée, au centre F II.

Revers


Titulature revers : UNA/ LIRA/ VENETA/ 1800.
Description revers : En quatre lignes dans une couronne formée d’une palme et d’une branche d’olivier.
Traduction revers : (Une lire de Venise).

Historique


ITALIE - RÉPUBLIQUE DE VENISE - OCCUPATION AUTRICHIENNE

(1797-1805)

Venise fut occupée par Bonaparte dès 1797. N'ayant que mépris pour cette république aristocratique de marchands, Bonaparte livra Venise aux Autrichiens par le Traité de Campoformio. En 1805, Venise et la Vénétie seront rattachés au royaume d'Italie avant de revenir de 1814 à 1866 au royaume de Lombardie-Vénétie. François II (12/02/1768-2/03/1835) est le fils de Léopold II, petit-fils de François Ier et de Marie-Thérèse, neveu de Joseph II. Il succède à son père en 1792 en pleine révolution française, est le dernier empereur du Saint-Empire (1792-1806) et le premier empereur d'Autriche. Il perd la Lombardie et les Pays-Bas par le traité de Campo-Formio en 1797 et le traité de Lunéville lui enlève ses possessions sur la rive gauche du Rhin. Ennemi de Napoléon, il est battu à Austerlitz et est obligé de reconnaître la Confédération du Rhin en 1806. Il est encore battu à Wagram en 1809, Vienne est occupé. Il est obligé de signer le traité de Schönbrunn. Il sacrifie sa fille Marie-Louise qu'il donne en mariage à Napoléon en 1810. Dès 1813, il se rallie à la coalition qui se ligue contre son gendre. Le Congrès de Vienne de 1814-1815, dirigé de main de maître par le prince de Metternich, consacre le retour de l'Autriche sur le plan international. Il est président de la Confédération germanique et le champion du conservatisme en Europe.

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