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fme_827728 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Enseignement primaire, Ministère de l’enseignement public et des cultes

DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Enseignement primaire, Ministère de l’enseignement public et des cultes TTB+
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Type : Médaille, Enseignement primaire, Ministère de l’enseignement public et des cultes
Date : 1848
Nom de l'atelier/ville : 79 - Moncoutant
Métal : cuivre
Diamètre : 50,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : FAROCHON Jean-Baptiste Eugène (1812-1871)
Poids : 65,29 g.
Tranche : Gravée : MINISTERE DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE ET DES CULTES + Main CUIVRE
Poinçon : main indicatrice (1845-1860) et CUIVRE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène. Des taches et des traces de nettoyage sont visibles dans les champs de l’avers et du revers. Des coups et des rayures sont présents sur l’ensemble de la médaille

Avers


Titulature avers : RÉPUBLIQUE - FRANÇAIS // ENSEIGT PRIMAIRE.713731 .
Description avers : Allégorie couronnant un instituteur et une institutrice, chacun s’occupant de 4 enfants devant une livre ou un globe terrestre. Signé : F. FAROCHON F..

Revers


Titulature revers : A / A. BUDARD / INSTITUTEUR / COMMUNAL / MONCOUTANT / (DEUX SÈVRES) / - / 1848.
Description revers : Légende en 7 lignes entre deux palmes.

Commentaire


Cette médaille est décernée à Monsieur A. Budard, instituteur à Moncoutant.

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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