bpv_153661 - TITUS Tétradrachme syro-phénicien
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2011)
Prix : 140.00 €
Article vendu sur notre boutique internet (2011)
Prix : 140.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Date : 71-72
Nom de l'atelier/ville : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Métal : argent
Diamètre : 24,00 mm
Axe des coins : 11 h.
Poids : 13,09 g.
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire à l’usure importante, comme tous les exemplaires connus ou presque. Flan très légèrement taché et décentré sur les légendes
Référence ouvrage :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0140_002, il provient de la trouvaille dite de Banias
Avers
Description avers : Tête laurée de Titus à droite avec l’égide (O*4), légende débutant à la pointe du buste.
Légende avers : AUTOKR TITOS KAIS OUESP (Autokrator Titos Kaisaros Ouespasianos).
Traduction avers : (l’empereur Titus césar Vespasien).
Revers
Description revers : Aigle debout à gauche sur une palme, les ailes déployées ; dans le champ à gauche, une massue posée verticalement.
Légende revers : [ETOUS] G - IEROU (Etous gamma Ierou).
Traduction revers : (année sacrée troisième du règne).
Commentaire
Cette pièce est une frappe pour Titus, ce qu’indique sans confusion la légende de droit, et la date est tout aussi certainement celle du règne de Vespasien : les émissions parallèles existent pour Vespasien, groupe 8, et cet usage de dater les frappes du fils par les années régnales du père est bien attesté. C’est évidemment une frappe à vocation militaire, emblématique de la Guerre juive dont elle a payé les légions.
On pense bien entendu pour ce groupe à un atelier proche du front, Tyr, du fait de la massue, une ville de Judea Capta pour le lieu des combats, peut-être Jérusalem qui était déjà tombée, alors que les affrontements se poursuivaient.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-sept exemplaires seulement sont maintenant répertoriés, pas d’exemplaire au Cabinet des médailles de Paris.
On pense bien entendu pour ce groupe à un atelier proche du front, Tyr, du fait de la massue, une ville de Judea Capta pour le lieu des combats, peut-être Jérusalem qui était déjà tombée, alors que les affrontements se poursuivaient.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-sept exemplaires seulement sont maintenant répertoriés, pas d’exemplaire au Cabinet des médailles de Paris.