fme_786178 - SUISSE Médaille pour les 300 ans de la Réforme
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Type : Médaille pour les 300 ans de la Réforme
Date : 1835
Nom de l'atelier/ville : Suisse, Genève
Métal : bronze
Diamètre : 39 et 34,5 sans la bélière mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : SCHLÜTTER
Poids : 21,20 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Jolie patine marron avec une petite usure sur certains reliefs. Présence de quelques coups et rayures. La médaille est cerclée d’une monture en cuivre avec bélière
Avers
Titulature avers : POST TENEBRAS LUX.
Description avers : Bible ouverte.
Revers
Titulature revers : 3E JUBILÉ / DE LA / RÉFORMATION / GENÈVE / 25 AOÛT / 1835.
Description revers : Légende en 6 lignes horizontales.
Commentaire
Diamètre sans bélière (mais avec la monture) : 34,5 mm
La réforme protestante, également appelée « la Réforme », amorcée au XVIe siècle, est une volonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, par extension, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. Elle reflète l'angoisse des âmes, par la question du salut, centrale dans la réflexion des réformateurs, qui dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des indulgences. Les réformateurs profitent de l'essor de l'imprimerie pour faire circuler la Bible en langues vulgaires (notamment l'allemand après la première traduction réalisée par Martin Luther), et montrent qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. La référence à la Bible comme norme est une des principales motivations des réformateurs..
La réforme protestante, également appelée « la Réforme », amorcée au XVIe siècle, est une volonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, par extension, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. Elle reflète l'angoisse des âmes, par la question du salut, centrale dans la réflexion des réformateurs, qui dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des indulgences. Les réformateurs profitent de l'essor de l'imprimerie pour faire circuler la Bible en langues vulgaires (notamment l'allemand après la première traduction réalisée par Martin Luther), et montrent qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. La référence à la Bible comme norme est une des principales motivations des réformateurs..
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