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E-auction 328-244723 - fme_442644 - LOUIS XIII LE JUSTE Médaille de Cornelius Jansen

LOUIS XIII LE JUSTE Médaille de Cornelius Jansen TTB
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PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : 100 €
Prix : 29 €
Offre maximum : 29 €
Fin de la vente : 29 juillet 2019 18:15:30
participants : 5 participants
Type : Médaille de Cornelius Jansen
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : Belgique, Louvain
Métal : bronze
Diamètre : 46,36 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : JOUVENEL Adolphe Christian (1798-1867)
Poids : 45,69 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Intéressante médaille avec une très longue légende au revers. Patine sombre

Avers


Titulature avers : CORNEILLE JANSENIUS NÉ - EN 1585 MORT EN 1638.
Description avers : Buste à gauche de Cornelius Jansen.

Revers


Titulature revers : IL FUT PROFESSEUR / A L’UNIVERSITÉ DE LOUVAIN / ET EN 1655 LE ROI D’ESPAGNE LE / NOMMA ÉVÊQUE D’YPRES. IL S’OCCUPAIT / AVEC ZÈLE DE SON DIOCÈSE LORSQU’IL FUT / VICTIME DE LA PESTE. IL EST L’AUTEUR DE / PLUSIEURS OUVRAGES THÉORIQUES, MAIS CELUI / QUI A RENDU SON NOM CÉLÈBRE ET QUI FUT / PUBLIÉ APRÈS SA MORT EST L’AUGUSTINUS IL / L’AVAIT ÉCRIT POUR COMBATTRE LA DOCTRINE DU / JÉSUITE MOLINA SUR LA GRACE, LE LIBRE ARBITRE / ET LA PRÉDESTINATION. CE LIVRE TROUBLA / LONGTEMPS L’ÉGLISE ET DONNA LIEU A LA / QUERELLE DES JANSENISTES ET DES / MOLINISTES IL FUT CONDAMNÉ / PAR PLUSIEURS PAPES..
Description revers : Légende en 16 lignes horizontales.

Commentaire


Cornelius Jansen, plus souvent connu sous la forme latine de son nom, Jansénius, né le 28 octobre 1585 à Acquoy (Pays-Bas) et décédé le 6 mai 1638, fut évêque d'Ypres. Il est à l'origine d’un important mouvement politico-religieux, le jansénisme, condamné par l'Église catholique romaine en 1653 et persécuté par Louis XIV.

Adolphe Jouvenel, né en 1798 à Lille et mort en 1867 à Bruxelles, est un médailleur français actif à Bruxelles. Après s’être formé auprès de François Rude à Paris, Adolphe Jouvenel va s'établir en Belgique où il devint graveur du roi Léopold Ier. Il produisit de 1818 à 1860 de nombreuses médailles à sujet historiques, commémoratifs ou reproduisant le portait de personnalités de son temps..

Historique


LOUIS XIII LE JUSTE

(14/05/1610-14/05/1643)

Fils de Henri IV et de Marie de Médicis, Louis XIII naquit à Fontainebleau en 1601. Roi en 1610, il régna d'abord sous la régence de sa mère, qui suivit une politique de conciliation avec l'Espagne et combla les Grands de faveurs pour s'assurer leur tranquillité. Les États généraux, réunis en 1614-1615, montrèrent la désunion des Ordres et l'impossibilité de réformes financières. Le favori de la régente, Concino Concini, marquis d'Ancre, fut a la tête des affaires jusqu'en 1617, date de son assassinat sur ordre du roi. Le nouveau favori, Albert de Luynes, reçut la dignité de connétable et gouverna jusqu'à sa mort devant Montauban en 1621, continuant une politique extérieure favorable aux Habsbourg. Revenue au pouvoir, la reine-mère fit entrer au Conseil l'une de ses créatures, Richelieu, ancien évêque de Luçon. À partir de 1626 et jusqu'à la fin du règne, Richelieu fut comme premier ministre le maître absolu de l'État. Les complots successifs de Marie de Médicis, de Gaston d'Orléans, d'Anne d'Autriche et de Cinq-Mars ne purent venir à bout de la faveur du cardinal. Il soumit le parti protestant (prise de La Rochelle, 1628, édit de grâce d'Alès, 1629) et fit entrer la France dans la guerre de Trente Ans, guerre d'abord couverte (1630) puis ouverte (1635). Cette longue entreprise " d'abaissement de la maison d'Autriche " allait durer jusqu'en 1659. Richelieu n'en vit pas la fin, mais put assister à la conquête de l'Artois, de l'Alsace et du Roussillon. Avec les années 1630, arriva une " révolution dans l'art de gouverner " correspondant au ministériat de Richelieu et à l'entrée de la France dans la guerre de Trente Ans. Dans le contexte de la " révolution militaire " du XVIIe siècle (effectifs décuplés, prépondérance de l'infanterie et des armes à feu, fortification bastionnée), l'effort de guerre sans précédent imposa et justifia un État tout-puissant, animé par la seule raison d'État. " Géant du grand siècle ", étudiée par les Anglo-saxons plus que par les historiens de l'Hexagone, l'armée française devint un Léviathan armé ; l'impôt qui la nourrit pesa comme jamais auparavant. L'exercice du pouvoir gagna en efficacité, avec l'organisation du Conseil d'État et l'institution des intendants. Un premier contrôle de l'opinion et de la langue se mit en place (institution de l'Académie française, création de la Gazette de France). Le pouvoir tendit aussi à la brutalité : évoquant le début des années 1630, Omer Talon écrit que " l'on voulait les choses par autorité et non par concert ". La Fronde apparaît comme une réaction ratée à ces changements trop rapides. Roi guerrier, roi pénétré de ses devoirs, Louis XIII laissa faire le Grand Cardinal tout en conservant la direction des armées, qu'il conduisit avec bravoure (siège de La Rochelle, 1628, affaire du Pas de Suse, 1629, conquête du Roussillon, 1642). Il se servit de Richelieu sans l'aimer, mais après sa mort, en 1642, conserva ses ministres et continua sa politique jusqu'à sa mort survenue l'année suivante. D'Anne d'Autriche épousée en 1614, il avait eu deux fils, Louis XIV et Philippe d'Orléans.

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