fjt_755253 - LORRAINE - NOBLESSE ET VILLES Chaumont de la Galaisière et de sa femme Bergeret n.d.
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Type : Chaumont de la Galaisière et de sa femme Bergeret
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : Nancy
Métal : cuivre rouge
Diamètre : 29 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 11,13 g.
Tranche : lisse
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine sombre et marron. Jeton frappé de manière décentrée avec des faiblesses de frappe notamment sur les motifs centraux de l’avers
Référence ouvrage :
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection MARINECHE
Avers
Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Armes de Chaumont de la Galaisière et de sa femme Bergeret.
Revers
Titulature revers : NON. INVLTVS. PREMOR.
Description revers : Armes de Nancy.
Traduction revers : On ne m'assaille pas impunément.
Commentaire
Ce jeton a certainement été frappé pour le mariage
En 1770, M. de Chaumont de la Galaisière, dût à sa qualité d'Intendant des Duchés de Lorraine et de Bar, un jeton sans millésime que la Ville lui fit frapper. Il est chargé d'un côté des armes de la Ville, surmontées de celles pleines de la Maison de Lorraine, avec la devise NON.INVLTVS.PREMOR. Au revers, des armes de Chaumont accollées à celles de Dame N. de Bergeret son épouse, environnées de feuillages et placées sous une couronne. M. de la Galaisière avait des talents, mais il succédait à son père; d'ailleurs, ses grandes acquisitions en Lorraine, l'Edit des clôtures de 1767, regardé comme vexatoire , le partage des pâquis, et surtout la dureté de quelques-uns de ses Sub- délégués, ont été cause qu'il n'a été aimé ni regretté (Histoire des villes vieille et neuve de Nancy Par Jean Jacques Bouvier 1811).
En 1770, M. de Chaumont de la Galaisière, dût à sa qualité d'Intendant des Duchés de Lorraine et de Bar, un jeton sans millésime que la Ville lui fit frapper. Il est chargé d'un côté des armes de la Ville, surmontées de celles pleines de la Maison de Lorraine, avec la devise NON.INVLTVS.PREMOR. Au revers, des armes de Chaumont accollées à celles de Dame N. de Bergeret son épouse, environnées de feuillages et placées sous une couronne. M. de la Galaisière avait des talents, mais il succédait à son père; d'ailleurs, ses grandes acquisitions en Lorraine, l'Edit des clôtures de 1767, regardé comme vexatoire , le partage des pâquis, et surtout la dureté de quelques-uns de ses Sub- délégués, ont été cause qu'il n'a été aimé ni regretté (Histoire des villes vieille et neuve de Nancy Par Jean Jacques Bouvier 1811).
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