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CALABRE
TARENTE - (281‑272 avant J.‑C.)
Pyrrhus stratège, roi d’Épire - (295‑272 avant J.‑C.).
Nomos ou statère, c. 275AC.,
Calabre,
Tarente, étalon italo-tarentin réduit, (Ar, Ø 21 mm, 7 h,
6,41 g). (pd. th. 6,50 g, didrachme, 2 drachmes ou12 oboles).
A/
Les Dioscures (Castor et Pollux) le manteau flottant au
vent galopant à gauche.
R/
GU / [TA-RAS]
. (Tarente). Taras nu, chevauchant un
dauphin à gauche, tenant une Niké de la main droite, deux
javelines transversales et un bouclier orné d’un serpent de
mer de la main gauche au-dessous, les flots.
Exemplaire sur un flan ovale et irrégulier, bien centré des
deux côtés. Style fin au droit, mais frappe un peu faible sur
les jambes des chevaux. Joli revers, la petite Niké est peu
visible, la tête deTaras est coupée. Jolie patine demédaillier
avec des reflets mordorés et bleutés acier.
V. 775 - Côte 371 -ANS. 1123 -MIAMG. 773 (500€) -HN.
Italy 1011 - SNG. France 6./1914 - Cop. 892.
RR. TTB+
450 €
Cet exemplaire provient de la vente Weil du 20 octobre
2004, n° 7 et de la vente Bourgey du 13 juin 1952, n° 33,
de MONNAIES 32, n° 2, de MONNAIES 34, n° 8 et de
MONNAIES 41, n° 12.
Sur cet exemplaire, le nom du
magistrat n’est pas visible sous les chevaux. Nous n’avons
pas relevé d’identité de coin pertinente.
Nomos ou didrachme, c. 275AC.,
Calabre,
Tarente, étalon italo-tarentin réduit, (Ar, Ø 21.5 mm, 4 h, 6,46 g).
(pd. th. 6,50 g, 12 oboles).
A/
Cavalier nu passant à droite, se couronnant lui-même ; entre
les jambes du cheval, le chapiteau d’une colonne ionique.
R/
TARAS/ [ANQ]
. (Tarente). Taras nu, chevauchant un dauphin
à gauche, tenant un aplustre de la main droite et une quenouille
de la main gauche.
Exemplaire sur un flan ovale, légèrement décentré au revers.
Au droit, la musculature du cavalier est bien visible, mais le
chapiteau est légèrement tréflé. Au revers, l’aplustre n’est pas
visible. Recouvert d’une jolie patine de collection ancienne avec
des reflets mordorés.
V. 804 -Côte- -ANS. 1143 -MIAMG. 1540 (R) -HN. Italy 1014.
TTB+
280 €
C’est l’un des nomos les plus courants pour le monnayage
de Tarente pour cette période. L’aplustre que tient Taras au
revers est un symbole maritime. En revanche, la présence de
la quenouille reste plus énigmatique et fait peut-être référence
à l’une des nombreuses activités de la cité.
.
Nomos ou statère, c. 302AC.,
Calabre,
Tarente, étalon italo-tarentin, (Ar, Ø 21.5 mm, 11 h, 7,82 g).
(pd. th. 8,00 g, didrachme, 2 drachmes ou 12 oboles).
A/
Cavalier au pas à droite, nu, couronnant son cheval.
R/
AGA/ TARAS
. Taras nu, chevauchant un dauphin à
gauche, tenant une grappe de raisin de la main droite et un
sceptre de la main gauche.
Exemplaire sur unflan ovale, complet des deux côtés. Frappe
molle. V. 674 - Côte- - ANS. 1052 - MIAMG. 1475 (R)
(1000€) - SNG. France 6./1871 - Cop. 865.
RR. TTB
250 €
Cet exemplaire provient deMONNAIESXXVI, n° 1, de
MONNAIES 36, n° 2 et deMONNAIES 41, n° 8.
Mêmes
coins que les exemplaires de l’American Numismatic
Society (ANS. 1052) et du Cabinet des médailles de la
BnF. (SNG. France 6./1871). Notre exemplaire, comme
celui de l’ANS présente une cassure de coin au revers.
.
Nomos ou didrachme, c. 302‑281AC.,
Calabre, Tarente, étalon italo-tarentin, (Ar, Ø 21 mm, 12 h,
7,83 g). (pd. th. 8,00 g, statère, 2 drachmes ou 12 oboles).
A/
Cavalier nu galopant à droite, brandissant une javeline
de la main droite, tenant de la main gauche, la bride de son
cheval, deux javelines transversales et un bouclier rond
vu de l’intérieur.
R/
TARAS
. (Tarente). Taras nu, chevauchant un dauphin à
gauche, s’appuyant de lamain gauche sur le dos de l’animal
et de la main droite tendue, un petit dauphin.
Exemplaire sur un flan ovale et irrégulier, bien centré,
excepté sur la légende au droit avec des sujets légèrement
stylisés, mais bien venus à la frappe. Patine gris foncé avec
des reflets métalliques.
V. 692 - Côte 337 - ANS. 1066 - MIAMG. 1486 (R)
(450€) - SNG. France 6./1882 -Cop. 871 -HN. Italy 967 -G.
Procopio, Tesorettomonetale daMetaponto-Bernalda,AIIN.
4, 1957, p. 25‑65, n° 460‑49.
RR. TTB+
380 €
Cet exemplaire provient deMONNAIES 38, n° 9.
Exem-
plaire de style fin particulièrement bien venu à la frappe.
