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fme_500710 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Alphonse de Lamartine, Rejet du drapeau

DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Alphonse de Lamartine, Rejet du drapeau TTB+
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2019)
Prix : 80.00 €
Type : Alphonse de Lamartine, Rejet du drapeau
Date : 1848
Métal : laiton argenté
Diamètre : 40 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 19,78 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec des taches et une petite usure sur les points hauts
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : ALPHONSE - DE LAMARTINE.
Description avers : Tête à droite, signé : A. GARNIER.

Revers


Titulature revers : LE DRAPEAU ROUGE / JE NE L’ADOPTERAI JAMAIS / ET JE VAIS VOUS DIRE DANS / UN SEUL MOT POURQUOI JE M’Y / OPPOSE DE TOUTES LES FORCES DE MA / CONVICTION ET DE MON PATRIOTISME / C’EST QUE LE DRAPEAU TRICOLORE / CITOYENS A FAIT LE TOUR DU MONDE AVEC / LA RÉPUBLIQUE ET L’EMPIRE AVEC VOS / LIBERTÉS ET VOS GLOIRES ET QUE LE / DRAPEAU ROUGE N’A FAIT QUE LE TOUR / DU CHAMP DE MARS TRAÎNÉ DANS / LE SANG DU PEUPLE / 26 FEV.R 1848.
Description revers : Légende en 14 lignes, signé : A. G..

Commentaire


Cette médaille commémore l’événement du 27 février 1848, soit le rejet du drapeau rouge. La raison est bien décrite ici du point de vue d’Alphonse de Lamartine (1790-1869) poète, romancier, dramaturge français et homme politique.

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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