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fme_477582 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Major Martin, École de la Martinière

DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Major Martin, École de la Martinière TTB+
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Type : Médaille, Major Martin, École de la Martinière
Date : 1863
Nom de l'atelier/ville : 69 - Lyon
Métal : cuivre
Diamètre : 50,5 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : DANTZELL Joseph (1805-1877)
Poids : 59,95 g.
Tranche : lisse + abeille CUIVRE
Poinçon : Abeille CUIVRE
Commentaires sur l'état de conservation :
Présence de coups et de rayures. Légère usure sur les points hauts

Avers


Titulature avers : CL. MARTIN - FONDATEUR / LABORE ET CONSTANTIA.
Description avers : Tête à droite du Major Martin; signé : DANTZELL F..

Revers


Titulature revers : ÉCOLE DES SCIENCES ET ARTS INDUSTRIELS DE LYON / LA MARTINIERE.
Description revers : Légende en 2 lignes avec couronne de chêne, inscription gravée : DUFFE L / 1E DON / 4E MON / DIN LAVE / 1863.

Commentaire


Claude Martin, né à Lyon (France) le 4 janvier 1735 et mort à Lucknow (Inde) le 13 septembre 1800 est un soldat français de la Compagnie française des Indes orientales, puis de la Compagnie anglaise des Indes orientales (CAIO). Il amasse une grande fortune qu'il consacra à la création, après sa mort, de trois écoles à Calcutta, Lucknow et Lyon, toutes trois appelées “a Martinière”.

La Martinière fut un bref instant dans le palais Saint-Pierre (musée de peinture de Lyon) puis en 1832-1833 transférée dans l'ancien cloître des Augustins vers les Terreaux. Aujourd'hui il existe aussi La Martinière-Duchère, La Martinière-Monplaisir.
Le Major Martin légua aussi des sommes pour construire la Martinière-Lucknow (Inde) et un autre établissement à Calcutta. Mais les deux institutions "historiques" furent celles de Lyon (Augustins) et Lucknow avec la même devise : Labore et Constantia. .

Historique


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24/02/1848-2/12/1852)

Lors de la révolution de février 1848, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils mais celui-ci n'est pas reconnu par les Chambres et, le 24 février, la République est proclamée par un décret du gouvernement provisoire. Celui-ci a proclamé la liberté du travail, la suppression de la peine de mort en matière politique, le suffrage universel. Les ateliers nationaux sont créés en mars 1848. Des élections ont lieu dès avril et aboutissent au succès des républicains modérés. La fermeture des ateliers nationaux provoque des émeutes qui sont réprimées dans le sang par le général Cavaignac qui est nommé président du conseil. Les révoltés sont exécutés, emprisonnés, déportés. Le pouvoir législatif est confié à une assemblée unique alors que le président de la République, élu au suffrage universel, détient l'exécutif. Ce dernier est le prince Louis Napoléon. Il entre en conflit avec l'assemblée dès 1850 car sa réélection est anticonstitutionnelle. Louis Napoléon s'engage alors dans la préparation du coup d'État qui lui permet, le 2 décembre 1851, d'installer sa dictature. En novembre 1852, il est proposé de rétablir la dignité impériale héréditaire. Le plébiscite des 21-22 novembre donne près de huit millions de oui pour l'Empire tandis que le non ne recueillait qu'environ 250.000 voix. Le 2 décembre 1852, Louis Napoléon est proclamé empereur sous le nom de Napoléon III.

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