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E-auction 190-122036 - fjt_416102 - ARTILLERIE En cuivre argenté 1744

ARTILLERIE En cuivre argenté TTB
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PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : 35 €
Prix : 19 €
Offre maximum : 36 €
Fin de la vente : 05 décembre 2016 18:05:00
participants : 2 participants
Type : En cuivre argenté
Date : 1744
Métal : cuivre argenté
Diamètre : 28 mm
Axe des coins : 6 h.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R1
Référence ouvrage :

Avers


Description avers : Tête à droite de Louis XV signé FM [n°322var] type Guéant-Prieur 582H.

Revers


Titulature revers : NON IMPUNE TENTATUR ADITUS ; À L'EXERGUE : ARTILLERIE. 1744.
Description revers : Le dragon gardant l'entrée du jardin des Hespérides.
Traduction revers : Nul ne s'en approche impunément.

Commentaire


Plus précisément, un collectionneur nous a signalé que cet exemplaire était : saucé c’est-à-dire plongé dans un bain chaud de métal blanc, étain et/ou plomb. Cette méthode était déjà en usage dans l'Antiquité.

Historique


ARTILLERIE

Avant Louvois, l'artillerie était confiée à des entrepreneurs civils qui fournissaient pour un prix donné les hommes et le matériel par pièce en batterie. Elle relevait d'un grand maître de l'artillerie, charge créée sous Charles VII, qui appartint à Sully de 1599 à 1610 ou au duc de la Meilleraye sous Richelieu. Avec Louvois, l'artillerie devient partie intégrante de l'armée et elle est protégée par le régiment des fusiliers du roi. Les grades dans l'artillerie étaient plus accessibles aux roturiers que dans les autres régiments, l'avancement y était donné aux mérites et aux talents. Jusqu'au XVIIIe siècle, le matériel laisse beaucoup à désirer avec différents calibres, différents affûts et différentes roues. L'uniformisation et la modernité de l'artillerie devra beaucoup à J.-B. de Gribeauval, inspecteur général de l'artillerie dès 1776. À la fin du XVIIIe siècle, l'artillerie française sera la première en Europe et cette supériorité expliquera les victoires de la Révolution.

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