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bga_301259 - BELLOVAQUES (Région de Beauvais) Bronze au coq, “type de Bracquemont”

BELLOVAQUES (Région de Beauvais) Bronze au coq, “type de Bracquemont” TB+/SUP
Non disponible.
Article vendu sur notre boutique internet (2014)
Prix : 250.00 €
Type : Bronze au coq, “type de Bracquemont”
Date : c. 50-25 AC.
Nom de l'atelier/ville : Beauvais (60)
Métal : bronze
Diamètre : 16,5 mm
Axe des coins : 10 h.
Poids : 2,87 g.
Degré de rareté : R1
Commentaires sur l'état de conservation :
Bronze avec un droit de frappe molle mais un très beau revers finement détaillé et bien centré. Patine sombre et brillante
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Tête casquée de Rome à droite ; derrière, X.

Revers


Titulature revers : ANÉPIGRAPHE.
Description revers : Coq debout à droite, le corps formé d'une tête humaine barbue ; devant et derrière le coq, motif serpentiforme, centré d’un annelet.

Commentaire


Ce type a parfois été mal classé et interprété. Le dessin du Lambert (pl. 7, n° 35) est repris dans le Traité de Numismatique gauloise d’A. Blanchet en 1905 (fig. 39). Dans leur inventaire de 1889, Muret et Chabouillet n’avaient pas distingué le masque humain qui orne le poitrail du coq. Ce type est aujourd’hui mieux connu grâce aux travaux de L.-P. Delestrée. Cet exemplaire offre un revers particulièrement net et compréhensible !.

Historique


BELLOVAQUES (Région de Beauvais)

(IIe - Ier siècle avant J.-C.)

Les Bellovaques, peuple de la Gaule Belgique, occupaient l'actuel département de l'Oise. Ils avaient pour voisins les Parisii, les Véliocasses, les Calètes, les Ambiens et les Suessions. César (BG. VII. 59) considère les Bellovaques comme la peuplade "la plus valeureuse de toute la Gaule". Avant la Guerre des Gaules, les Bellovaques avaient été les alliés des Éduens. En 57 avant J.-C., ils furent les artisans du soulèvement des peuples belges, fournirent un contingent de soixante mille guerriers à la coalition, mais furent vaincus et trouvèrent refuge sur leur oppidum de Bratuspantium. En 52 avant J.-C., ils avaient promis un contingent de dix mille hommes pour l'armée de secours. Ils se rétractèrent, prétendant combattre seuls les Romains. Finalement, à la prière de Commius, ils donnèrent deux mille hommes à la coalition. L'année suivante, en 51 avant J.-C., ils prirent pour la dernière fois la tête d'une révolte des peuples belges. Corréos, chef bellovaque, mena la sédition afin de combattre les Romains avec les Atrébates, les Ambiens, les Aulerques Éburovices, les Calètes et les Véliocasses. Avec l'atrébate Commios, Corréos rencontra les armées romaines aux confins des pays bellovaques et suessions. Corréos fut tué ce qui mit fin définitivement aux hostilités. Le principal oppidum des Bellovaques était Bratuspantium qu'il est difficile d'identifier avec certitude à la cité romaine de Caesaromagus (Beauvais). César. (BG. II, 4, 5, 10, 13, 14 ; V, 46 ; VII, 59, 75, 90 ; VIII, 6, 7, 12, 14-17, 20-23, 38). Strabon (G. IV, 3-5). Pline (HN. IV, 106). Ptolémée (G. II, 9). Kruta : 68, 351.

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